Il est déjà bien loin le temps où seuls les auteurs de BD décédés avaient droit à la réédition de leurs albums et aux intégrales. C'était à l'époque bien révolue où les nouveautés ne débarquaient pas par palettes entières toutes les semaines ou presque : les libraires avaient encore assez de place pour conserver un fonds de titres plus anciens, pour stocker et mettre en valeur les albums qui leur plaisaient.