« Je n’aurais jamais dû composer ce foutu numéro. » Une première phrase, qui ouvre ce roman de Louis-Philippe Dalembert, et happe. Pas question de s’arrêter de lire, lorsque l’écriture, incisive et exacte en tout point, nous invite à dévorer chaque page. S’offre alors au lecteur une histoire fictive, qui sonne pourtant si terriblement vrai.