AVANT-CRITIQUE – Dans une langue hybride, entre idiomes médiévaux sans orthographe, un familier moderne et des mots d’englishes, Guillaume Lebrun surprend dès son premier roman par son audace et son inventivité. Avec Fantaisies guérillères, il ne fait pas revivre le Moyen-âge le temps d’un récit féministe : il s'en sert de terrain de jeu pour déployer des thèmes contemporains.