On connaissait Yuval Noah Harari pour ses précédents ouvrages, Sapiens et Homo Deus, par lesquels il devisait du passé et du devenir de l’humanité. Tous deux ont rencontré leur public grâce à une écriture limpide, des raisonnements didactiques et surtout un propos globalisant — qui n’invoque rien de moins que l’humanité. Et ce, sans faire l’impasse sur la complexité des sujets traités.