Fragrances éphémères

BONNES FEUILLES - Dans un futur proche, les tournages de cinéma, trop polluants, ont été interdits. À la place, un procédé permet d’extraire les souvenirs de personnes décédées pour les monter en films éphémères qui durent le temps que la mémoire s’efface.

BONNES FEUILLES - « Là où s’épanouit le jasmin se trouve la première clé ». Tel est le dernier message laissé à Taline par Nona, sa grand-mère, qui l’a élevée, guidée, accompagnée à chaque étape de sa vie. Celle qui lui a appris à reconnaître tout un univers subtil d’odeurs – chèvrefeuille, amande, goudron… – et à les associer pour créer de nouvelles fragrances. Maintenant que Nona est morte, Taline, terrassée par le chagrin, est seule à la tête de l’entreprise de parfums créée par sa grand-mère.

BONNES FEUILLES - Les parfums sont toute la vie de Sylvain Bragonard. Il a le don de cerner n’importe quelle personnalité grâce à de simples senteurs, qu’elles soient vives ou délicates, subtiles ou entêtantes. Tout le monde y passe, même les morts dont il s’occupe tous les jours dans son métier ­d’embaumeur. Marie Mangez signe en cette rentrée littéraire son premier roman, Le parfum des cendres, chez Finitude.  

BONNES FEUILLES - Le livre intitulé Glace est une magnifique célébration des grottes sous-glaciaires, capturée par Jean-François Delhom, un spécialiste de la glacio-spéléologie. De 2017 à 2023, Delhom a exploré et immortalisé environ 84 cavités glaciaires. 

BONNES FEUILLES - À travers le prisme d'une enfant devenue adolescente dans un village moldave des années 1960-1970, le récit explore les aspirations à un ailleurs, symbolisé par le grand monde au-delà de son existence quotidienne. 

BONNES FEUILLES – Un roman puissant, d'une rare violence, qui marque autant par son style cru et racé que par son étonnante modernité. James Leslie Mitchell, dans une traduction de Frédéric Collemare, publiera en mai prochain Spartacus dans la collection Épopée de Callidor.

RentréeLittéraire23 - « J’avais une machine à écrire dans mon cabinet. Je travaillais à toute allure. Si un patient venait à la porte au milieu d’une phrase, j’écartais d’un coup la machine et j’étais médecin. » 

HIVER2024 - En 1937, André Breton exprimait un vœu poignant : « Je vous souhaite d’être follement aimée. » Il soulignait ainsi que l'amour est non seulement une question de liberté, tant éthique que poétique, mais aussi un phénomène qui transcende l'intimité personnelle et contraste avec le cynisme qui envahit nos existences.

AVANT-PARUTION – Tout va bien dans la vie de Justine, médecin, maman comblée de trois enfants, et propriétaire d’une jolie maison dans le sud de la France. Une vie sereine simple et heureuse. Justine est née sous une bonne étoile. Jusqu’au jour où tout bascule. Un roman riche en émotions et lumineux. 

HIVER2024 - À l'automne 1971, une famille animée de huit personnes, composée de six enfants espiègles et de leurs parents, jouit d'une vie tranquille dans la campagne...

Il est souvent plus facile de détruire que de construire ; il faut des semaines pour fabriquer un Boeing, mais quelques secondes pour le pulvériser au sol, des années pour consolider un mariage et trois jours pour l’anéantir. C’est le constat qui s’impose à Muriel alors que le crash de son avion semble inévitable... 

HIVER2024 – Tempo est un roman qui célèbre les rêves de jeunesse et la marche du temps à travers un récit rock. Félix Pogam, trentenaire vivant à Belleville avec sa compagne et leur enfant, joue de la guitare dans les bars le soir, nourrissant l'espoir de lancer sa carrière solo. 

En Nahuatl, l'un des dialectes mexicains, la poésie est désignée par un couple de métaphores, « Ni Xochitl, Ni Kuikatl » : « la fleur, le chant ».

RentréeLittéraire23 - Un jour, il a perçu quelque chose d'extraordinaire. Il a vu à travers ses oreilles une grande congrégation d'esprits. Leurs voix empruntaient les intonations des animaux, et curieusement, plusieurs mots de différentes langues humaines parsemaient leurs paroles. 

Les Presses universitaires de Lyon publient ce 11 mars un ouvrage d’Henri Calet, Je ne sais écrire que ma vie. Ce texte avait été préfacé par Joseph Ponthus, mettant en lumière l’admiration qu’il portait à l’œuvre de Calet, autant que les liens entrevus entre son propre travail et celui de l’écrivain. La diffusion de cette préface se fait en hommage des PUL à Joseph Ponthus.