BONNES FEUILLES — Le silence n’est pas simplement l’absence de bruit, il est aussi tissé de sons. De même, la solitude n’est pas le simple contraire de la vie sociale, mais un espace vaste et complexe où l’on peut se retrouver, se perdre, ou se réinventer. C’est dans ce territoire, en dehors de la ville bruyante et oppressante, que décide de s’aventurer le narrateur de La Vie sociale (Bakélite), écrit par Jérôme Orsoni.