Hormis le fait que d'habitude l'échec est total, et qu'on se retrouve au fond de la terrine avec quelque chose qui s'apparente à un pâté assez sec enrobé d'une grande quantité de graisse d'un beau jaune, dont on se demande ce qu'on pourra bien faire, et sans même penser à la dépense, la première fois qu'on s'essaye à vouloir réaliser soi-même un foie gras (canard ou oie, le désastre est identique), l'opération est semée d'embûches. Trois obstacles peuvent tout faire capoter.