C'est l'idée avancée par un généticien américain, Robert Plomin, qui estime que d'après son étude menée avec l'Institut de psychiatrie du King College de Londres, les résultats scolaires d'un élève dépendraient davantage de son patrimoine génétique que de la qualité de l'enseignement reçu. L'ADN, finalement plus fort que l'école ?