Littérature et argent semblent au premier abord ne pas faire bon ménage. Considérons d’un côté un art immortel, propre à mettre à nue les tréfonds de l’âme humaine, et de l’autre un grossier outil mercantile, source de bassesse et de mesquineries routinière. Mais une brève plongée dans l’histoire des lettres suffit pour mettre à jour les liens étroits qu’entretiennent certaines œuvres avec des considérations pécuniaires.