Quand Michael Moorcock himself se réjouit de redécouvrir ses propres œuvres, à travers le dessin et le scénario d’artistes — parce qu’il ne relit jamais ses romans, une fois la version finale rendue — on ferait la fine bouche à tort. Surtout quand l’illustrateur est Michael T. Gilbert. Et puis, de tous les personnages de Moorcock, faut avouer qu’Elric est le plus délicieusement torturé…