Roland Cailleux : soutenu par Gide (dont il fut le médecin), admiré par Vialatte, lu par Gracq, salué par Nimier mais disparu des radars de la postérité littéraire. Ainsi va le monde des lettres. Voici qu’en cette année du centenaire proustien nous venons de lire Une lecture de Roland Cailleux, roman étonnant, foisonnant et drôle, en forme d’hommage libre à l’auteur de la Recherche.