Quand on entend dans certains milieux, littéraires et parisiens, que Matzneff pourrait n’avoir pas fait autant de victimes qu’envisagé, on se contient d’exploser. Surtout quand l’argument déployé consiste à clamer que l’on aurait certainement entendu bien plus tôt la parole desdites victimes. À ce titre, les révélations du Parisien démangent autant que dérangent.