Après Carnet d’adresses de quelques personnages fictifs de la littérature, Didier Blonde renoue avec ses déambulations parisiennes, cette fois-ci à la recherche de fantômes. Il y a peu, Jean-Jacques Schuhl évoquait des apparitions plus tangibles que la réalité, ici Didier Blonde en convoque également, mais à partir de souvenirs. Un autoportrait en forme de variations sur ses thèmes favoris, entre anciennes gloires du muet et évocations du père disparu.