Boomerang éditeur jeunesse

« Mon père, notre père, Pierre Lepère, s'est éteint ce matin à Paris, 15e. Je ne connais pas de plus grand vivant, ni de plus grande fierté que d'être sa fille. » Ces mots sont de la poétesse Julia Lepère, accompagnée de son frère Tanguy, annonçant la disparition du romancier, poète, essayiste et éditeur français à l'âge de 78 ans, ce 18 novembre.

Boomerang, sur France Inter, puis 21 CM /21 CM+ pour le compte de Canal +, avant de quitter la chaîne cryptée et d’embrayer avec Plumard pour BrutX : Augustin Trapenard poursuit sa carrière de critique littéraire désormais dans La Grande Librairie. Succéder à François Busnel, pas une mince affaire. Depuis le 7 septembre, sur France 5, le voici officiant au contact des auteurs les plus divers et variés. Et soigneusement sélectionnés ? 

Les éditeurs québécois de littérature pour jeunes, un peu moins jeunes, et pas encore très âgés ont choisi de prendre le problème à bras le corps. Dans un texte que signe une vingtaine de maisons, c’est un engagement ferme contre le racisme qui est posé.

On en poufferait devant l’absurdité de la chose : les relations entre Donald Trump et Beijing n’ont rien de la lune de miel. Les négociations entre les deux pays tournent régulièrement en eau de boudin, avec des dommages collatéraux un peu partout. Au cœur du problème, la hausse des droits de douane. Et pour effet boomerang de provoquer une tempête dans les bénitiers… 

Une position enviée et peu enviable

ENQUÊTE – Le Salon du livre de Montreuil, dédié à la presse et la littérature jeunesse, ouvrira ses portes ce 29 novembre. Innovante, diversifiée, cette production n’en reste pas moins encadrée par une loi découlant de la politique protectionniste instaurée à la fin de la Seconde Guerre mondiale. La loi du 16 juillet 49 pose en effet un cadre qui régule la diffusion des ouvrages et publications dédiées à cette belle jeunesse. Et s'est attachée les services d'une commission chargée d'examiner les oeuvres.

« L'enfance n'est pas la période joyeuse et insouciante qu'elle est supposée être. » « Les enfants ne sortent pas de chez eux sur [les ailes] de moineaux. Ils sont poussés dehors », expliquait cet été au Guardian, Kathy Short, présidente de l'International Board of Books for Young People.Elle se fait l'écho d'une nouvelle littérature jeunesse qui traite du monde tel qu'il est, avec son lot de noirceurs, pour expliquer plutôt que les laisser ingérer seuls ce que diffuse la télévision.