En direct du salon du livre de Turin, notre reporter est allée à la rencontre des éditeurs, des auteurs, des professionnels italiens réunis jusqu’au 18 octobre. Une édition exceptionnelle, à plus d’un titre, que l’on retrouvera également dans le dossier qui lui a été consacré.
Côté géant de la littérature, option prix Nobel, les héritiers de Gabriel Garcia Marquez ont décidé d’organiser une vente un peu particulière : la garde-robe de l’écrivain et de son épouse est à prendre. Les cabines d’essayage sont sur votre droite.
Les robots, de leur côté, se changent en lecteurs : dans les bibliothèques de France, le Deep Learning est à l’oeuvre. Tandis que chez Elon Musk, on travaille à faire résumer les livres par des machines. Pas toujours brillant.
Nos camarades de jeu du Manque reviennent, comme chaque week-end, pour proposer un moment musical et littéraire. Cette fois, le romantisme en prend pour son grade !
Et puis, Marvel s’associe avec son partenaire de l’instant : la célèbre collection Penguin Classics va publier les premiers ouvrages de comics, reprenant des histoires anciennes de super-héros. Ah, le développement durable, option recyclage…
Excellentes lectures.
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À Mexico s’organise ce 20 octobre une vente de biens peu banale : plus de 400 vêtements et accessoires, tirés de la garde-robe de Gabriel García Marquez et de son épouse Mercedes Barcha. Un véritablement événement, baptisé El armario de los García Márquez (L’armoire de García Marquez), qui se tiendra dans leur ancienne maison, indique la famille.
En France, seuls deux de ses trois premiers romans ont été traduits chez Actes Sud, La fiancée gitane en février 2019 et Le Réseau pourpre en avril dernier (trad. Anne Proenza). Mais Carmen Mola préservait un mystère entier : cette Madrilène de 45 ans, se présentait comme mère de famille avec trois enfants. De fait, ils étaient bien trois, mais des auteurs, qui s’abritaient derrière ce pseudonyme. En recevant le prix littéraire majeur en Espagne, ils ont mis un terme à leur secret.
L’intelligence artificielle en renfort pour l’industrie du livre n’est qu’un juste retour des choses. Quand on y pense, finalement, Google a numérisé des millions d’ouvrages pour développer le “langage” au sein de ses propres outils… Car le recours aux algorithmes et aux IA n’intervient pas uniquement pour opérer des recommandations dans l’achat de livres. Bien au contraire, les développements et applications se diversifient.
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