Les géants du web continuent d’alimenter les débats autour du respect du droit d’auteur. Dernier épisode en date : Meta, maison-mère de Facebook et Instagram, se retrouve dans la ligne de mire pour avoir exploité des millions d'ouvrages sans autorisation. Ces contenus, aspirés sur le web, auraient servi à entraîner des modèles d’intelligence artificielle. Les éditeurs américains, soutenus par le Authors Guild, réclament des milliards de dollars en réparation. L’affaire, portée devant la justice californienne, rappelle l'importance des batailles engagées ces derniers mois pour défendre le travail des créateurs, dans un contexte où les IA génératives bouleversent les pratiques éditoriales.

Depuis quelques jours, une prophétie catastrophe fait trembler la toile : un tremblement de terre majeur, suivi d'un tsunami dévastateur, ravagerait le Japon dès le mois de juillet. Bien que les autorités japonaises n'aient communiqué aucun avertissement officiel, la viralité de ces prédictions illustre une nouvelle fois la puissance de désinformation des réseaux sociaux et leur capacité à attiser les peurs collectives.

Le grand rendez-vous de la rentrée littéraire 2025 réserve une surprise de taille : selon plusieurs éditeurs, le meilleur roman francophone de la saison porterait… un passeport espagnol. Cette confidence, glissée dans les coulisses du monde éditorial, laisse planer un parfum d’ironie sur le paysage littéraire, alors que les frontières linguistiques semblent de plus en plus poreuses.

Du côté des adaptations, Andrzej Sapkowski, le créateur de The Witcher, ne fait pas mystère de ce qui lui tient à cœur : le fruit financier de ces projets. Peu enclin à commenter les choix artistiques ou scénaristiques, l’auteur polonais souligne avant tout l’intérêt économique de voir ses œuvres adaptées en série ou en jeu vidéo. Un rappel, sans détour, de la réalité commerciale derrière les grandes sagas contemporaines.