«Mais il était trop tard, il fut piégé par d’autres pensionnaires : il aurait bien voulu voir leur tête, leur sourire de connivence quand le premier de la rangée lui coinça la tête entre les deux jambes et que le curé prit un moment de pose pour savourer sa victoire. Il aimait ça et
ce n’est qu’après une indéchiffrable frénésie de coups que le garçon réussit à atteindre la porte. Il se mit à courir dans la cour, il lui fallait un endroit pour se cacher : il était derrière, le salaud de curé. Accélère Willy ! Accélère ! ça y est, il flanche ! Tiens là-haut dans le noir derrière le tas de bois ! C’est là qu’il réussit à se cacher.»
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