" La phrase de Melville est à la fois un torrent, une montagne, une mer (...)Mais comme la montagne, le torrent ou la mer, cette phrase roule, s'étire et retombe avec tout son mystère. Elle emporte ; elle noie. Elle ouvre le pays des images dans les profondeurs glauques où le lecteur n'a plus que des mouvements sirupeux, comme une algue.(...)Toujours elle propose une beauté qui échappe à l'analyse mais frappe avec violence ".
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