Je détestais le monde

(...) Le poète sait la mission qui lui est assignée. Et malgré son jeune âge, Ahossan Jean Yves Taoh est habité par une soif de justice, le rêve de voir le monde déborder d'amour. Idéaliste comme la plupart des héros, notre auteur sent couler dans ses veines le sang bleu des maîtres de la forge poétique (...) Ahossan Jean-Yves Taoh écrit avec véhémence. Il décrit avec effervescence la douleur cancéreuse qui ronge le monde le plongeant dans le chaos total ? ; la méchanceté, la supercherie, l'hypocrisie... tous ces maux mâles sur le garrot qui calfeutrent l'humanité dans une forme de strangulation (...) Abdala Kone, écrivain et critique littéraire. Dans un style simple et accessible, Ahossan Jean-Yves Tanoh a voulu, à travers une poésie intimiste, nous livrer son rapport aux siens, à la vie, au monde. Il l'a dit ? : Je détestais le monde, mais la thérapie de la poésie lui a plus d'une fois redonné foi en la vie. Il a recouvré la vue. Et voilà qu'il nous invite, nous aussi, à boire au Léthé de la poésie afin d'en être revigorés, guéris... Cédric Marshall Kissy, Ecrivain, Poète, Blogueur Nominé au Prix International Stéphane Hessel de poésie (RFI, 2013) Grand Prix Zadi Zaourou de poésie (2014)