" Oscar Wilde disait : " Le plus grand chagrin de ma vie ? La mort de Lucien de Rubempré dans Splendeurs et misères des courtisanes ".
Dans cette dernière scène de cette première partie de la Tétralogie de Balzac (car dans Balzac, c'est rarement le roman qui est l'unité, le roman est constitué par un cycle dont un roman n'est qu'une partie) chaque mot, chaque geste, a ainsi des dessous dont Balzac n'avertit pas le lecteur et qui sont d'une profondeur admirable. "
Commenter ce livre