Dans des circonstances pour le moins inattendues le héros va se voir affligé de la présence permanente et incontournable d'un diablotin surréaliste. Heureusement, il est le seul à percevoir cet étrange lutin et à pouvoir dialoguer avec lui. Emanation de sa propre conscience, cette présence colorée semble amusante. Tout au moins au début. Mais rapidement cette cohabitation forcée entraîne son lot d'inconvénients et amène des quiproquos gênants. Au fil des épisodes la vie sociale et familiale du narrateur va se dégrader jusqu'au dénouement final. La présence perpétuelle de ses pensées les plus intimes est-elle supportable ?
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