Anaïs aurait dû écouter Eden et s'enfuir. Mais quand on finit par trouver l'amour, le vrai – celui que tous traquentde bar en bar, celui dont on rêve au fond d'un lit froid –, il devient difficile d'y renoncer au nom d'un sombreprésage d'avenir. Eden devient lentement prisonnier de son corps, Anaïs de cet amour plus grand que naturequ'elle ne sait réprimer.Que faire d'autre alors que prendre son souffle et plonger ? Un roman lumineux, d'une beauté sublime, tant dansl'histoire que dans l'écriture. Une histoire terriblement humaine Une lecture dont on ne sort pas indemne Un amour absolu qui s'étale sur 15 années, racontésans lourdeurs et sans précipitations Rédigé sous la forme d'une longue lettre adressée àson homme, la narratrice nous donne une immersionpoignante dans le quotidien d'une amoureuse qui sefait peu à peu aidante naturelle, sans l'avoir choisi Une grande question sous-tend le roman, en filigrane : est-il possible de garder l'amour vivant lorsque le corpsn'est plus qu'un poids dans l'équation ? Une finale qui éblouira et marquera le lecteur L'AUTRICEGeneviève Jannelle a publié La juche, Odorama, Pleine de toi et Prendre son souffle, des histoires oscillanttoutes entre " tortueuses " et " tordues ". Elle travaille dans le domaine de la publicité, où elle est connuepour ses idées, certes, mais surtout pour son imposante collection d'escarpins et ses 10 km de joggingà l'heure du déjeuner.
Par
Geneviève Jannelle Chez
Editions Québec Amérique
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