"Il y a des villes pour les chagrins et d'autres pour le bonheur, parfois ce sont les mêmes". Lorsqu'elle retrouve une ancienne édition de La Chartreuse de Parme, Laure se souvient d'une phrase entendue dans son enfance : "Quand vous serez plus grande, vous irez à Parme, il faut lire ce roman de Stendhal à Parme". Des années plus tard, elle prend seule le train pour l'Italie. Ses déambulations à travers les rues et les théâtres font revivre les silhouettes de son passé. Alors, sur une impulsion, elle demande à son amant parisien de la rejoindre.
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