"Je me suis intéressée à la seigneurie de Meyronne, en 1989, après le décès de mon père. Il y avait, dans une boîte, des papiers de famille, la plupart en mauvais état et dont le plus ancien datait de 1592. En dépouillant ces documents, il est vite apparu que mes ancêtres étaient censitaires de la seigneurie de Meyronne, comme laboureurs. Leur destin avait dépendu, pendant plusieurs siècles, de ce château, aujourd'hui en ruine, qui avait été le siège d'une seigneurie importante pour la région, à cheval entre le Gévaudan et l'Auvergne". Camille Fabre
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