Après son apprentissage auprès de son maître Keikitsu il prit la route tout comme Bashô et nombre de haïjins le firent avant lui. Comme pour Kikaku, l'observation de la vie de ses contemporains était prépondérante chez Taïgi ; qu'il savait parfaitement allier à l'écriture de haïkus traditionnels. On retrouve dans ses poèmes d'une écriture classique sa fine observation de la vie quotidienne et de la nature. sieste la main cesse d'agiter l'éventail Extrait du livre
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