" Ce titre doit s'entendre moins comme une concession grotesque à des lecteurs indésirables que comme une provocation dégoûtée à l'égard des meurs humaines découvertes dès les rédactions d'enfance, la perspective du triste altruisme pour des jeunes gens infectés d'exigence, la monotonie d'une profession sans âme éclaircie d'amours plurielles, la visite d'un mouroir dominical, ou l'achèvement d'un vaincu de la société : La Fête de la Patronne, un toast adressé à l'horreur de naître, la joie d'en finir avec leur curriculum mortis, leur course obligée à l'oubli. "
Jude Stéfan
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