Dossiers

Points Terre : écologie et sauvegarde de la planète

Pour débattre et mobiliser autour de la question écologique et de la sauvegarde de la planète «Points Terre» une collection d'essais en poche pluraliste, engagée et interdisciplinaire. Face à l’urgence climatique, face aux défis majeurs que posent l’entrée dans l’anthropocène et la sauvegarde de la planète, la collection de poche « Points Terre » se propose d’ouvrir un espace d’échanges, d’analyse et de questionnements autour de la question écologique. 

Le 01/09/2020

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À destination d’un large public, cette collection d’ouvrages inédits ou issus du fonds accueille aussi bien des essais scientifiques que des classiques de l’écologie politique, des manifestes et des textes d’interventions d’acteurs emblématiques de l’engagement écologique.

Son ambition est de susciter le dialogue entre les différents courants de l’écologie et d’offrir une large diffusion en poche à des textes essentiels. « Points Terre » : une collection de poche généraliste consacrée à l’écologie, à destination des lecteurs sensibles aux problématiques environnementales.

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L’écologie devient une discipline à part entière des sciences humaines : en témoignent l’intérêt croissant des lecteurs, le fort dynamisme de ce secteur et la création chez les libraires d’un rayon dédié.

Au format poche et à petit prix, « Points Terre » prolonge le succès de la collection « Anthropocène ». Une collection qui s’engage : imprimée en France, sur du papier recyclé avec des encres végétales, « Points Terre » dispose d’une charte graphique à l’identité forte, immédiatement repérable.

crédit photo : ejaugsburg CC 0

 
 

Extraits

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Notions

La convivialité

PointsTerre – La convivialité " Si les outils ne sont pas dès maintenant soumis à un contrôle politique, la coopération des bureaucrates du bien-être et des bureaucrates de l'idéologie nous fera crever de "bonheur'. La liberté et la dignité de l'être humain continueront à se dégrader, ainsi s'établira un asservissement sans précédent de l'homme à son outil. " Dénonçant la servitude née du productivisme, le gigantisme des outils, le culte de la croissance et de la réussite matérielle, Ivan Illich oppose à la " menace d'une apocalypse technocratique " la " vision d'une société conviviale ". Ce n'est que par la redécouverte de l'espace du bien-vivre et de la sobriété qu'Illich appelait la convivialité, que les sociétés s'humaniseront. Ivan Illich (1926-2002) Philosophe, penseur de l'écologie politique, il a fondé, au Mexique, le Centre international de documentation (CIDOC). Il est l'auteur d'une oeuvre importante qui a contribué à l'analyse critique de la société industrielle, dont Une société sans école (1971).

10/2021

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Essais généraux

L'écologie du XXIe siècle

PointsTerre – L'écologie du xxie siècle La grande affaire du xxie siècle sera l'écologie : comment, face à une dégradation de la biosphère jamais observée dans l'histoire, allons-nous empêcher le désastre et refaire une société juste et pacifiée ? Ceux qui tiennent aujourd'hui les manettes de la société n'ont pas la réponse à cette question cruciale. Mais une nouvelle génération arrive aux commandes et donne le ton de ce que seront les décennies à venir. Ces femmes et ces hommes ont tous moins de 45 ans. Nous leur avons demandé comment elles et ils étaient arrivés à l'écologie, quelle était leur vision du monde et comment, au quotidien, changer la vie. Ensemble, ils dessinent un nouveau monde, où la nature, la justice sociale, le bien commun, la sobriété, la technique retrouvent leur juste place. Collectif de l'équipe de Reporterre présenté par Hervé Kempf Avec les contributions de Matthieu Amiech, Angélique Huguin, Jade Lindgaard, Corinne Morel Darleux, Claire Nouvian, Fatima Ouassak, Jon Palais, Alessandro Pignocchi, Pierre Rigaux, Juliette Rousseau, François Ruffin et Pablo Servigne.

09/2021

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Essais généraux

L'âge des low techs. Vers une civilisation techniquement soutenable

PointsTerre – Face aux signaux alarmants de la crise environnementale globale - changement climatique, effondrement de la biodiversité, dégradation des sols, pollution généralisée, tensions sur l'énergie et les matières premières -, nous fondons nos espoirs sur les technologies "vertes" et le numérique. Plus consommatrices de ressources rares, plus difficiles à recycler, trop complexes, ces nouvelles technologies nous conduisent pourtant, à terme, dans l'impasse. Ce livre démonte les mirages des innovations high tech et propose de questionner la course en avant technologique en développant les low tech, les "basses technologies", plus sobres et plus résilientes. Il ne s'agit pas de revenir à la bougie, mais d'explorer les voies possibles vers un système économique et industriel compatible avec les limites planétaires.

04/2021

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Agriculture

Et le monde devint silencieux. Comment l'agrochimie a détruit les insectes

PointsTerre – Depuis près de trente ans, où sont passés les myriades d'insectes qui, sur la route des vacances, venaient s'écraser sur les pare-brise dés voitures ? Au début des années 2000, les géants de l'agrochimie ont installé l'idée que la disparition des insectes serait une énigme, due à de multiples facteurs (destruction des habitats, maladies, espèces invasives, mauvaises pratiques apicoles, changement climatique...). Mais des travaux toujours plus nombreux indiquent que la cause dominante de ce désastre est l'usage massif des pesticides néonicotinoïdes. Depuis leur introduction dans les années 1990, les trois quarts de la quantité d'insectes volants ont disparu des campagnes d'Europe occidentale. Ce livre montre comment les firmes agrochimiques ont truqué le débat public par l'instrumentalisation de la science, de la réglementation et de l'expertise. Voici le récit minutieux de l'enchaînement de ces manipulations, les raisons de ce scandale.

03/2021

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Agriculture

Les néo-paysans

PointsTerre – Les néo-paysans Alors que le monde agricole se débat dans la crise et que des milliers d'agriculteurs abandonnent chaque année leur métier, des gens venus de la ville, sans ancrage familial dans la paysannerie, choisissent de travailler la terre et s'installent aux quatre coins de la France, en maraîchage, élevage, culture. Succès, échecs, difficultés, bonheurs : peu à peu, ils renouvellent l'activité et apparaissent comme le ferment d'une agriculture en mouvement, écologique et pleine d'espoir. Sillonnant le pays pendant un an à la découverte des néo-paysans, Gaspard d'Allens et Lucile Leclair rapportent de leur enquête une série de portraits vifs et denses. Ils analysent ce mouvement souterrain et puissant qui témoigne d'un changement majeur dans le regard que la société du XXIe siècle porte sur la terre et l'activité de production alimentaire. Gaspard d'Allens et Lucile Leclair Journalistes pour le site Reporterre, ils sont respectivement les auteurs de Main basse sur nos forêts (Seuil-Reporterre, 2019) et de Pandémies, une production industrielle (Seuil-Reporterre, 2020).

03/2021

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Développement durable-Ecologie

Homo detritus. Critique de la société du déchet

PointsTerre – Stockés dans des décharges, éparpillés à la surface des océans ou dispersés en particules invisibles dans l'atmosphère, les déchets sont désormais des traces indélébiles de notre présence sur terre autant que des symptômes de la crise protéiforme du monde contemporain. Après les avoir enfouis, il est devenu impératif de les réduire, de les réutiliser, de les recycler. A l'heure de l'économie circulaire, l'idéal d'un monde sans restes tend à faire consensus. Cette promesse rappelle un mensonge de la tribu Chagga, évoqué par l'anthropologue Mary Douglas, où les mâles adultes affirment ne jamais déféquer, contrairement aux femmes et aux enfants, demeurant esclaves de leur corps. Ce livre montre que la quête de pureté, qui organise l'histoire du déchet dans nos sociétés industrielles, fabrique un aveuglement collectif. Il raconte comment homo detritus, face cachée d'homo oeconomicus, croit sauver la planète en "bien jetant".

10/2020

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Développement durable-Ecologie

Quel pain voulons-nous ?

PointsTerre – Quel pain voulons-nous ? Base traditionnelle et fondamentale de l'alimentation française, le pain a une image de produit naturel et authentique qui dissimule pourtant des filières diverses et mal connues. Depuis une vingtaine d'années se développe une industrialisation accélérée, sous la double pression des moulins et de la grande distribution, dans un contexte d'agro-industrie standardisée, où propreté et éthique passent après rapidité et rentabilité. Alors que les boulangers occupent une place de choix dans le quotidien des français et que les artisans tentent de remettre la qualité au centre du métier, l'écart entre bons et mauvais pains se creuse. Cette enquête au long cours invite à s'interroger sur un produit courant aux vices insoupçonnés et offre un panorama inattendu sur les techniques d'élaboration industrielles, les manipulations des farines et des levures, la question du gluten, mais aussi sur les modes de productions alternatifs. Marie Astier Née en 1987, formée à l'ESJ Lille, elle est l'un des piliers du quotidien en ligne Reporterre.

09/2020

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Développement durable-Ecologie

Pour sauver la planète, sortez du capitalisme

PointsTerre – Et si l'on rompait le sortilège qui prétend qu'"il n'y a pas d'alternative" ? C'est possible et même indispensable, alors que la catastrophe écologique s'aggrave jour après jour à cause du capitalisme. Celui-ci prétend l'enrayer par la technologie. Une prétention illusoire, selon ce livre décapant, qui démontre l'incompatibilité entre un système parvenu à la fin de son histoire et une biosphère dont la bonne santé est la condition d'une humanité pacifiée. L'auteur montre aussi que le capitalisme n'est pas seulement un système économique, mais une vision du monde qui a profondément altéré notre psychologie collective et dont il faut se libérer. Pour sauver la planète, il faut reconstruire une société où l'économie n'est pas reine mais outil, où la coopération l'emporte sur la compétition, où le bien commun prévaut sur le profit. En un mot : moins de biens, plus de liens !

09/2020

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Développement durable-Ecologie

Perdre la Terre. Une histoire de notre temps

PointsTerre – Perdre la Terre 1979. A peu près tout ce que nous comprenons à l'heure actuelle du réchauffement climatique était compris. Et même mieux compris, sans doute. Les principaux aspects du problème étaient tranchés, sans débat possible, et les spécialistes, loin de se disputer sur l'établissement des faits, travaillaient à en affiner les conséquences. Il y a trente ans, nous aurions pu sauver la Terre. Pourtant nous n'avons rien fait. Après des années d'enquête et plus de cent interviews réalisées avec le soutien de la Fondation Pulitzer, Nathaniel Rich retrace comment la planète a raté son rendez-vous avec le climat, comment malgré les efforts de plusieurs lanceurs d'alerte, d'intérêts parfois concordants, souvent contradictoires, y compris de l'industrie pétrolière, rien n'a été fait pour stopper le changement climatique. Implacable et passionnant, Perdre la Terre est un document pour l'histoire. Notre histoire. Nathaniel Rich Journaliste au long cours pour le New York Times, il interroge la manière dont le monde et la littérature s'accommodent de la catastrophe et du désastre. Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par David Fauquemberg

03/2020

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Développement durable-Ecologie

Une écosophie pour la vie. Introduction à l'écologie profonde

PointsTerre – Une écosophie pour la vie Etonnamment méconnue en France, l'écosophie d'Arne Naess, philosophe majeur du XXe siècle, est ici présentée à travers dix textes accessibles et sensibles. On y apprend ce qu'est véritablement l'écologie profonde (deep ecology) par opposition à l'écologie superficielle : née d'une relation intime avec la montagne, cette pensée restitue à tous les êtres vivants et à la nature une valeur intrinsèque, indépendamment de leur utilité pour les êtres humains. Prolongeant la pensée de Spinoza, Naess montre que l'affection pour tout ce qui est vivant ou " écosophie " - et non le rapport objectivant, gestionnaire ou dominateur sur la nature - est au coeur du développement personnel, de la formation de l'identité sociale... et d'une société plus juste. Arne Naess (1912-2009) Fondateur de la deep ecology, figure majeure de la philosophie contemporaine et de la pensée écologique, il a publié de nombreux livres et reçu plusieurs distinctions en tant que penseur, résistant de la Seconde Guerre mondiale, puis militant de la cause écologique. Textes traduits du norvégien par Naïd Mubalegh et de l'anglais par Pierre Madelin, sous la direction scientifique de et révisés par Hicham-Stéphane Afeissa Textes présentés par Hicham-Stéphane Afeissa et Mathilde Ramadier

03/2020

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Développement durable-Ecologie

1%. Reprendre le pouvoir face à la toute-puissance des riches

PointsTerre – Pauvreté et malnutrition généralisées, crise migratoire, creusement des inégalités sociales, polarisation extrême de l'économie... Telle est notre réalité quotidienne, alors que 1 % de la population de la planète a conduit la Terre - et ses sept milliards d'habitants - à la catastrophe sociale et écologique. Dans cet essai à la fois inspiré et très documenté, Vandana Shiva se confronte au club des milliardaires - Gates, Buffet, Zuckerberg et autres empereurs modernes - et dénonce l'impact destructeur du modèle de développement économique linéaire poursuivi par les multinationales qu'ils ont créées. Car leur quête insatiable du profit a instauré de manière antidémocratique l'uniformité et les monocultures, la division et la séparation, les monopoles et la domination des uns par les autres - et ce, dans des domaines aussi divers que la finance, l'alimentation, l'énergie, l'information, la santé et même les relations humaines. Se fondant sur des faits souvent méconnus - et en particulier sur le rôle de la Fondation Bill et Melinda Gates -, Vandana Shiva analyse comment la soi-disant "philanthropie" est devenue le moyen de contourner les structures démocratiques, d'empêcher la diversité et d'imposer des idées totalitaires, portées par une vision unique de la science, de l'agriculture et de l'histoire. Elle appelle à la "résurgence du savoir réel, de l'intelligence réelle, de la richesse réelle, du travail réel, du bien-être réel", afin que chacun d'entre nous puisse revendiquer le droit à vivre, penser, respirer et manger librement.

08/2019

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Développement durable-Ecologie

Un nouveau droit pour la Terre. Pour en finir avec l'écocide

PointsTerre – Peuples et sociétés sont dépossédés de leurs moyens d'existence à travers le monde par la destruction de leur environnement. Face à cet écocide, comment repenser les droits de l'homme ? L'écocide (fait de détruire la "maison Terre") n'est pas un crime de plus, s'ajoutant à toutes les autres atteintes aux droits humains. Il est désormais le crime premier, celui qui ruine les conditions mêmes d'habitabilité de la Terre. D'ores et déjà, les dérèglements en cours attisent injustices et tensions géopolitiques tandis que ceux qui saccagent la planète restent impunis. Aussi est-il urgent de revendiquer de nouvelles formes de responsabilité et de solidarité. Urgent de redéfinir un nouveau sens et de nouveaux cadres à l'action humaine au sein des limites planétaires. Le droit international doit se métamorphoser et s'universaliser autour d'une nouvelle valeur pivot, l'écosystème Terre, en reconnaissant un cinquième crime international, le "crime d'écocide".

10/2016

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Essais généraux

Comment tout peut s'effondrer. Petit manuel de collapsologie à l'usage des générations présentes

PointsTerre – Et si notre civilisation s'effondrait ? Non pas dans plusieurs siècles, mais de notre vivant. Loin des prédictions Maya et autres eschatologies millénaristes, un nombre croissant d’auteurs, de scienti?ques et d’institutions annoncent la ?n de la civilisation industrielle telle qu'elle s'est constituée depuis plus de deux siècles. Que faut-il penser de ces sombres prédictions ? Pourquoi est-il devenu si dif?cile d’éviter un tel scénario ? Dans ce livre, Pablo Servigne et Raphaël Stevens décortiquent les ressorts d’un possible effondrement et proposent un tour d’horizon interdisciplinaire de ce sujet, fort inconfortable, qu’ils nomment la "collapsologie". En mettant des mots sur des intuitions partagées par beaucoup d’entre nous, ce livre redonne de l’intelligibilité aux phénomènes de "crises" que nous vivons, et surtout, redonne du sens à notre époque. Car aujourd’hui, l’utopie a changé de camp : est utopiste celui qui croit que tout peut continuer comme avant. L’effondrement est l’horizon de notre génération, c’est le début de son avenir. Qu’y aura-t-il après ? Tout cela reste à penser, à imaginer, et à vivre…

04/2015

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Développement durable-Ecologie

Comment les riches détruisent la planète

PointsTerre – Nous sommes à un moment de l'histoire qui pose un défi radicalement nouveau à l'espèce humaine : pour la première fois, son prodigieux dynamisme se heurte aux limites de la biosphère et met en danger son avenir. Vivre ce moment signifie que nous devons trouver collectivement les moyens d'orienter différemment cette énergie humaine et cette volonté de progrès. C'est un défi magnifique, mais redoutable. Or, une classe dirigeante prédatrice et cupide, gaspillant ses prébendes, mésusant du pouvoir, fait obstacle au changement de cap qui s'impose urgemment. Elle ne porte aucun projet, n'est animée d'aucun idéal, ne délivre aucune parole mobilisatrice. Après avoir triomphé du soviétisme, l'idéologie néolibérale ne sait plus que s'autocélébrer. Presque toutes les sphères de pouvoir et d'influence sont soumises à son pseudo-réalisme, qui prétend que toute alternative est impossible et que la seule voie imaginable est celle qui conduit à accroître toujours plus la richesse. Cette représentation du monde n'est pas seulement sinistre, elle est aveugle. Elle méconnaît la puissance explosive de l'injustice, sous-estime la gravité de l'empoisonnement de la biosphère, promeut l'abaissement des libertés publiques. Elle est indifférente à la dégradation des conditions de vie de la majorité des hommes et des femmes, consent à voir dilapider les chances de survie des générations futures. Pour l'auteur de ces pages incisives et bien informées, on ne résoudra pas la crise écologique sans s'attaquer à la crise sociale concomitante. Elles sont intimement liées. Ce sont aujourd'hui les riches qui menacent la planète.

01/2007

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