La longue période de clandestinité qui marquait l'œuvre de Roger Plin, décédé en 1985, s'achève enfin avec la sortie du premier livre qui porte sur elle. Cette absence prolongée des manuels contraste avec la prégnance dont elle fait preuve sur les mémoires des artistes et des critiques, qui en connaissent la portée et la richesse. Les présentations de Gaston Bachelard et de Lydia Harambourg témoignent de son influence sur plusieurs générations d'artistes-sculpteurs.