Les joies et délices de la paternité induisent parfois de bien longues — ou courtes — nuits, suivant le référentiel. Et si bébé ne se découvre pas encore une passion pour l’audiovisuel, la voix de Titus Welliver, incarnant le détective Harry Bosch à l’écran, a des vertus apaisantes. Amusant, d’ailleurs, que l’acteur campant le personnage de Michael Connelly, soit également peintre. Comme un certain Jérôme ?
Le 06/04/2025 à 18:37 par Nicolas Gary
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Publié le :
06/04/2025 à 18:37
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Hieronymus “Harry” Bosch fait ses débuts en 1992 dans Les Égouts de Los Angeles (trad. Jean Esch), premier roman de l’écrivain américain Michael Connelly. Ancien du Vietnam, il a servi comme « rat de tunnel » : ces soldats avaient pour mission de pénétrer les galeries que creusaient les Viêt-Cong, pour des massacres méthodiques. Étudiant, Connelly tombe sur le peintre flamand Hieronymus Bosch (Jérôme Bosch), qui l'a fasciné par son univers de « folie, de mort et de péché ».
Or les tableaux du maître « dépeignent un monde métaphorique de chaos ». Ainsi, concevant ce détective tourmenté et intègre dix ans plus tard et confronté à de terribles scènes de crime, il lui a transmis ce nom en héritage...
Bien entendu, la touche de Raymond Chandler, Joseph Wambaugh ou encore Ross Macdonald, et leur vision de Los Angeles, ont marqué le héros de Connelly : comme Philip Marlowe, Harry est un outsider cynique, mais au grand cœur, méfiant envers l’autorité et révolté par l’injustice. « Il est tout ce qui compte dans mes livres – le personnage, le personnage, le personnage », résumait Connelly en 2015. Et de jouer souvent avec la résurgence d'un souvenir, d'un morceau de son passé, ou de monologues intérieurs pour nous le révéler un peu plus.
Dès Les Égouts de Los Angeles, Bosch est présenté comme un enquêteur tenace, taciturne et rebelle. Il est souvent comparé à Dirty Harry, joué par Clint Eastwood dans le film de Don Siegel ou Bullitt, que campe Steve McQueen devant la caméra de Peter Yates : il a en commun un franc-parler, associé à ce mépris de la hiérarchie. Mais Connelly lui adjoint une histoire personnelle lourde : les cauchemars de vétéran marqué par la guerre et orphelin de mère – une prostituée assassinée lorsqu’il était enfant…
Ces blessures le poussent à agir justement « quoiqu’il en coûte » pour les victimes. Bosch est un justicier obstiné, à l’éthique intransigeante : « Tout le monde compte, ou personne ne compte » est sa devise. Il franchit la ligne rouge d’un pas – mais jamais des deux pieds – pour faire triompher la vérité. « Ce sens de l’équité – « Everyone counts or nobody counts. » – constitue le socle du personnage », explique Connelly.
Le romancier aime d’ailleurs mieux montrer Bosch face aux tracasseries bureaucratiques ou aux « petites politiques » du LAPD que dans l’action héroïque : « Ce sont ces détails de caractère qui définissent Harry Bosch », note l'auteur.
Au fil de 23 romans (à ce jour) où Bosch apparaît, Connelly fait évoluer son héros en temps quasi réel. Bosch approche la soixantaine dans les derniers tomes, l’auteur ayant « choisi de le faire vieillir en même temps que la série ». Policier au départ à la Criminelle de Hollywood, il connaît des hauts et des bas : mis au placard après avoir abattu un tueur en série, il rouvre l’enquête jamais résolue sur le meurtre de sa mère (Le Dernier Coyote, 1999, trad. Jean Esch) et affronte ses démons.
Il traverse ainsi plusieurs époques, offrant à Connelly un point de vue privilégié sur l’évolution de Los Angeles – des émeutes de 1992 aux avancées de l’ADN.
Bosch prend sa retraite du LAPD mais conserve le feu sacré : il devient détective privé puis reprend du service comme réserviste ou consultant sur des cold cases, incapable de renoncer à la quête de justice. Sa vie personnelle, elle aussi, progresse : Harry se marie (avec l’agent du FBI Eleanor Wish) puis divorce, il découvre la paternité sur le tard avec sa fille Madeline, qui lui apporte une lueur d’humanité dans son monde sombre.
S'il reste ce solitaire endurci, les derniers romans l’associent à une jeune partenaire, Renée Ballard, symbole de la relève : « Il passe le flambeau » à cette détective plus téméraire que lui, admet Connelly. Pourtant, Harry Bosch demeure, livre après livre, le cœur de l’univers de Connelly. « J’ai commencé avec lui et j’espère que le dernier livre que j’écrirai parlera de lui », confie l’auteur à Laist.
Ancré dans le réel (« Harry est la seule chose que j’ai inventée, tout le reste est vrai », dit Connelly), nourri de toute la mythologie du noir californien, Bosch s’est imposé comme l’un des détectives les plus emblématiques du roman policier moderne.
Après deux tentatives avortées d’adaptation au cinéma dans les années 1990 (les producteurs avaient même envisagé Harrison Ford pour le rôle !), Harry Bosch a fini par trouver le chemin des écrans via la télévision. En 2014, Amazon Studios lance Bosch, une série policière portée par l’acteur Titus Welliver, qui connaîtra sept saisons de succès (2014-2021) et deviendra la série originale la plus pérenne d’Amazon.
Michael Connelly s’est impliqué en personne dans cette transposition : dès 2010, il récupère par voie judiciaire les droits de son personnage, bloqués chez Paramount depuis seize ans, puis s’associe au producteur Henrik Bastin et au scénariste Eric Overmyer (vétéran de The Wire) pour développer un pilote. Plutôt que de démarcher les chaînes, l’équipe écrit un script complet et une « bible » de la série, convaincue que Bosch « n’était pas calibré » et trouverait sa place ailleurs.
Le projet attire Amazon grâce à l'intervention inattendue de Larry Kirshbaum – l’éditeur américain de Connelly chez Little, Brown – qui, enthousiaste, connecte l’auteur avec les studios Amazon. « Que fais-tu en ce moment ? » demande Kirshbaum lors d’un match de baseball en 2013, raconte Tampabay. Connelly lui parle de Bosch, Kirshbaum relaie l’idée à Roy Price, patron d’Amazon Studios, « et ils sont venus vers nous » se souvient l’écrivain. Résultat, Amazon commande un pilote, diffusé début 2014 en ligne, et Bosch est officiellement lancée.
La série adapte fidèlement l’esprit des romans tout en opérant des choix nécessaires. Connelly avait deux priorités : « Rester loyal au personnage de Harry Bosch, et dépeindre un Los Angeles réaliste. » Le pari est relevé : la ville est filmée en décors naturels, y compris au siège du LAPD, une autorisation rare obtenue grâce à la popularité de Bosch chez les vrais policiers.
L’auteur apprécie ces détails : « Mon cœur se gonfle quand, dans la première minute du show, j’entends la voix de Vin Scully [commentateur de baseball] sur fond noir… Puis on découvre Titus [Welliver] en Bosch avec une vue iconique de la ville en contrebas : un homme sort d’une maison grillagée dans un quartier modeste, et en tournant dans la rue on voit la splendeur de LA à l’horizon. C’est l’un des contrastes que j’adore dans cette ville et qu’on voulait montrer », racontait-il à Laist.
Côté continuité, les scénaristes ont pris le parti de moderniser la chronologie : Bosch a une cinquantaine d’années dans la série (Titus Welliver en avait 52 lors de la première saison), ce qui a conduit à modifier son passé militaire. Ainsi, le Bosch du petit écran n’est plus un vétéran du Vietnam, mais de la guerre du Golfe (début des années 1990) – il a servi dans les Forces spéciales, avec une expérience de guerre souterraine rappelant celle des tunnel rats.
Ce léger rajeunissement permet de situer l’action de nos jours et d’envisager plusieurs saisons sans incohérence. Pour autant, la série reste une adaptation très respectueuse : chaque saison puise dans un ou plusieurs romans de Connelly, en combinant les intrigues. Par exemple, la saison 1 entremêle l’enquête de Wonderland Avenue (trad. Robert Pépin - VO City of Bones, sur des ossements d’enfant retrouvés) et le procès inspiré de La Blonde en béton (trad. Jean Esch - VO The Concrete Blonde, où Bosch est accusé d’avoir abattu le mauvais suspect).
Les saisons suivantes adaptent notamment Los Angeles River (The Narrows) et Echo Park (saison 2), Le Dernier Coyote et Lumière morte (saison 3), puis des romans plus récents comme Mariachi Plaza (The Burning Room) ou Une Vérité à deux visage… tout en ajustant certains arcs narratifs pour assurer la continuité télévisuelle. Connelly, qui co-scénarise quelques épisodes, veille au grain. « J’ai passé ma vie d’auteur adulte avec Harry Bosch, alors si on veut de Harry à l’écran, je viens avec lui ! » disait-il en refusant cette fois de céder le contrôle aux studios.
Amazon lui a donné raison : Connelly est crédité comme producteur exécutif et consulte chaque décision clé. « Je n’ai jamais eu autant mon mot à dire que sur ce projet », confie-t-il lors du tournage du pilote. Le choix de l’acteur incarnant Bosch était évidemment crucial. « La décision la plus importante était : qui va jouer Harry Bosch », s'interrogeait Connelly.
Après des douzaines d’auditions, Titus Welliver s’est imposé. Dès le premier jour de casting, Connelly propose ce comédien qu’il avait remarqué dans une série éphémère, pour sa capacité à exprimer un passé complexe « sans avoir besoin de mots ».
Welliver n’était pas disponible immédiatement (il tournait alors à Hong Kong) mais finit par venir passer le test… en débarquant d’un vol long-courrier, épuisé. Malgré le décalage horaire, « il a assuré la scène du pilote », raconte Connelly, « et il a décroché le rôle immédiatement ». L’acteur a su apporter à Bosch une gravité, une colère intériorisée et une humanité fidèle aux romans : « Titus capture le tumulte intérieur du personnage », estime l’auteur dans une interview accordée à CheatSheet.
Bien qu’au départ Welliver craignait de décevoir les fans, parcer qu'il avait « déjà connu les préjugés des lecteurs face à une adaptation », son interprétation a convaincu le public et la critique. Autour de lui, le casting soigneux rassemble des visages crédibles : l’acteur afro-américain Jamie Hector incarne Jerry Edgar, partenaire de Bosch, tandis que Lance Reddick prête sa prestance au chef adjoint Irving. De nombreux personnages des livres (patronne Billets, avocats Haller et Honey Chandler, etc.) ont leur équivalent à l’écran, parfois modifié (la fille de Bosch, Maddie, est plus présente que dans les premiers romans).
D'ailleurs, Connelly n’hésite pas à inviter de vrais policiers de Los Angeles sur le plateau – certains apparaissent même en uniforme dans la série, jouant de cette frontière entre fiction et réalité.
Lui-même se prête au jeu : l’écrivain fait un caméo amusant dans l’épisode pilote, jouant un suspect déguisé en Père Noël qu’Harry Bosch arrête brièvement. Ces clins d’œil témoignent de l’atmosphère conviviale sur le tournage. « Adapter Bosch a été un vrai plaisir », dit Connelly : « Parfois on tourne une scène et je me souviens l’avoir écrite vingt ans plus tôt… C’est fou de voir ça prendre vie. »
Au final, la série Bosch a gagné son indépendance sans déplaire aux lecteurs de Connelly. « Bosch est Bosch : une adaptation magistrale », juge le site CrimeReads, qui salue une transposition réussie de l’univers noir de Connelly à l’écran. Michael Connelly, lui, voit un effet retour inattendu : l’existence de la série a influencé ses romans récents. Difficile de tourner un monologue intérieur : les producteurs ont donc développé plus d’intrigues secondaires. « On m’a dit : Bosch ne peut pas être dans toutes les scènes, sinon on va tuer Titus », s’amusait Connelly. Davantage de personnages sont ainsi apparus, apportant plus de diversité dans les livres suivants (via Washington Post).
Après sept saisons acclamées, le Bosch télévisé s’est achevé en 2021… pour renaître aussitôt sous forme de spin-off : Bosch: Legacy, lancé en 2022, suit Harry reconverti en détective privé, aux côtés de sa fille Maddie devenue policière. Preuve que l’inspecteur imaginé il y a plus de trente ans n’a pas fini de vivre de nouvelles aventures, sur le papier comme à l’écran.
Michael Connelly s’est imposé comme un poids lourd du polar mondial, avec plus de 85 millions de livres vendus à ce jour. En France, son succès s’est construit peu à peu depuis les années 1990. Son tout premier éditeur français fut les éditions du Seuil, qui publièrent Les Égouts de Los Angeles en 1993 dans la collection « Seuil policiers ».
Sous la houlette de Robert Pépin— grand découvreur de thrillers étrangers —la maison Seuil a édité plus d’une douzaine de romans de Connelly, du Poète (The Poet, 1996) aux Neuf Dragons (2009), en passant par Le Dernier Coyote ou L’Envol des anges. À partir de 2001, Robert Pépin traduit lui-même plusieurs titres (il signe la traduction de L’Oiseau des ténèbres, Wonderland Avenue, etc.). Connelly gagne alors en visibilité : il remporte en 1998 le Grand prix de littérature policière pour Créance de sang (Blood Work), l’une des récompenses françaises les plus prestigieuses dans le genre.
Son thriller juridique Le Verdict du plomb (The Brass Verdict, 2008) reçoit le prix des lectrices de Elle en 2009, signe de sa popularité croissante auprès du lectorat français. Cette même année, Connelly connaît un coup de projecteur inattendu : le président Bill Clinton déclare publiquement qu’il est l’un de ses auteurs favoris, ce qui attire sur lui l’attention de nouveaux lecteurs.
Fin 2009, un tournant s’opère : Robert Pépin quitte Le Seuil pour rejoindre les éditions Calmann-Lévy et y lancer sa collection « Robert Pépin présente ». Connelly suit son éditeur et change de maison : dès 2010, Calmann-Lévy récupère les droits de ses nouveaux ouvrages, ainsi qu’une partie du fonds. Les romans phares de Connelly ressortent dans de nouvelles traductions ou rééditions enrichies chez Calmann, qui devient son éditeur français de référence.
En grand format, Connelly intègre la collection Calmann-Lévy Noir, tandis qu’en poche, ses titres migrent chez Le Livre de Poche (groupe Hachette). En pratique, à partir de 2011, chaque nouveauté de Connelly paraît en France en deux temps : d’abord en édition reliée chez Calmann-Lévy, puis environ un an plus tard en poche au Livre de Poche (pour les thrillers « Bosch » et « Lincoln Lawyer ») ou chez Points (pour les quelques titres restés au Seuil).
Les traducteurs évoluent également : Robert Pépin continue de traduire Connelly pendant plusieurs années (il signe encore L’Innocence et la loi en 2022), parfois assisté de collègues comme Caroline Nicolas (co-traductrice sur Séquences mortelles). Plus récemment, c’est Jean Esch — traducteur des débuts — qui a repris du service, par exemple pour Les Ténèbres et la Nuit (2022).
Ainsi, l’« écurie » Connelly a traversé les décennies en changeant d’éditeurs, mais en gardant une continuité éditoriale grâce à Robert Pépin et son équipe, garants de la cohérence des versions françaises.
Les chiffres de vente de Michael Connelly en France reflètent cette montée en puissance. Dans les années 2000, ses romans atteignent régulièrement le Top des ventes. En 2017, par exemple, son thriller Mariachi Plaza (The Burning Room) entre directement à la 13ᵉ place du Top 20, tous genres confondus, dès sa sortie en poche.
Au total, plus de 3 millions d’exemplaires des ouvrages de Connelly auraient été écoulés en France (grand format et poche cumulés) depuis 1993 — une performance notable pour un auteur étranger dans le domaine du roman policier.
Par Nicolas Gary
Contact : ng@actualitte.com
Paru le 29/01/2014
567 pages
LGF/Le Livre de Poche
9,90 €
Paru le 02/10/2013
352 pages
Calmann-Lévy
17,00 €
Paru le 27/05/2015
600 pages
LGF/Le Livre de Poche
9,90 €
Paru le 06/09/2023
528 pages
LGF/Le Livre de Poche
9,70 €
Paru le 02/03/2022
480 pages
LGF/Le Livre de Poche
9,40 €
Paru le 05/04/2017
506 pages
LGF/Le Livre de Poche
9,70 €
14 Commentaires
Mylmyl
07/04/2025 à 06:22
Merci pour cet article sobre complet résumant bien l' histoire d' un personnage que j' aime beaucoup
Cette continuité (l' écurie) ce désir de Connelly de veiller à ce que la série respire son esprit d écriture c'est vraiment bien
Respect
Karl Merlin
07/04/2025 à 09:25
une cata cette série
c'est pas le Bosh des livres
totalement insipide
sans coulures
politiquement correct
rien ne dépasse
fadasse à souhait
Connelly nous a perdu depuis un bail
son commerce est fleurissant
mais un brin fané
JCF
08/04/2025 à 17:49
Eh bien moi j'ai lu tous les romans de Connelly que j'ai adoré et j'ai vu 3 fois toutes les saisons que j'ai également beaucoup aimé ! Titulaires Welliver incarné tres bien le personnage !
Pasco
07/04/2025 à 12:06
Merci de cet article, je me sentais seule à apprécier cette adaptation si fidèle à l'écriture, respectant les personnages et leurs valeurs. Ça devrait donner des idées aux auteurs qui méritent d'avoir toute leur place dans les réalisations cinématographiques ou télévisuelles de leurs textes.
Jajounette
08/04/2025 à 08:30
Je suis très fan des romans de Michael Connelly dont j'ai lu tous les livres, même ceux sur Mickey Haller le demi frère de Harry). Et j'ai vu toutes les séries sur Bosch et Bosch Legacy qui passe en ce moment. Un pur bonheur. ❤️
Acacia
08/04/2025 à 08:40
Très bon article sur connelly, j y ai trouvé tout ce que j aime chez cet auteur,j ai lu yous les livres et j ai aimé retrouver le personnage de Bosch, malheureusement,et c est la vie,le personnage vieillit et on s attend à sa mort,il perd ses capacités,et je ne sait si le personnage de billard aura la même aura. La défense l'inconnu et son demi frère n à pas la même consistance, mais ne boudons pas notre plaisir...
Delatte jocelyne
08/04/2025 à 09:02
Je suis adficte à mickael connelly
J adore la série televisee et y retrouve exactement les mêmes sensations que dans les livres
Et cela est rare souvent je préfère les livres aux séries adaptees
Hélas je n'ai vu que 3 séries adaptées de harry bosch
Cathy
08/04/2025 à 10:19
J'adore! J'avais tout lu, il y a longtemps, puis je me suis procuré les livres de nouveau, pour relire toute la sage! J'adore Bosh et don demi- frère Haller. Le fonctionnement des tribunaux et de la loi américaine y est très bien décrite ! Cette fois, je garde tout et le promet de relire de nouveau dans 10 à 15 ans! C'est tellement bien écrit, c'est un univers envoûtant où l'intrigue est géniale! Bravo!
cherade
08/04/2025 à 10:42
Super article. Merci.
J'adore Michael Connelly et ses livres avec Harry Bosch, LAPD et la ville de L.A. Même chose pour la série TV.
J'ai la chance d'être bilingue donc je lis tous les livres en anglais sur mon Kindle. Un vrai plaisir pour moi.
Je n'ai aucune critique à faire. Je suis en train de lire les 6 derniers romans avec H.B. et Renée Ballard.
Super.
Cherade
Arme Ray
08/04/2025 à 10:59
Bravo à l'auteur, à tous les comédiens et surtout à Titus welliver, pour cette série adictive au top.
Pitchoune
08/04/2025 à 11:33
J'ai découvert les livres de Michael Connelly, dès le premier ouvrage à la bibliothèque et tout de suite je suis devenue accroc à ses romans. Depuis j'ai acheté tous ses livres en grand livres et en poche, dont le dernier paru l'année dernière. Quand la série Bosch a été diffusé sur FR3 je ne la ratais pas, 4 saisons le dimanche soir. J'adore aussi surtout Titus Welliver que j'avais vu dans d'autres séries et films , que j'adore car c'est 1 excellent acteur qui est aussi producteur de la série avec Michael Connelly. Je regrette que depuis 2 ou 3 ans FR3 ne diffuse plus cette série alors qu'il y a 7 saisons. Je vais les acheter en dvd à la Fnac pour les avoir comme les livres. C'est vrai que dans le dernier livre Bosch est moins présent, étant atteint d'1 cancer , ayant plus de 70 ans donc il manque 1 peu dans les enquêtes et il y a moins de romans où apparaît son demi frère, avocat à qui Bosch donne 1 coup de main comme détective. Je souhaite que Michael Connelly se sépare de lui le plus tard possible. Même si Ballard et sa fille sont excellentes il nous manquerait trop. Voilà.
Wendy
08/04/2025 à 11:50
Extraordinaire..
Nous possedons tous les livres... le héros Harry Bosch... et vu toutes les series televisées.
Je suis entrain de lire le dernier roman " A qui sait attendre "
de Michael Connelly.
Vite... vite... votre prochain roman toujours attendu avec impatience.
Olive 45
08/04/2025 à 14:52
A quand le spin-off réunissant les frères Bosh et Mickey Haller de la défense Lincoln ? Ce serait Super...
Un lecteur assidu depuis le début et spectateur conquis de l'adaptation.
Riou
08/04/2025 à 21:23
J'en dis que c'est bien dommage, que la série, soit interrompu à cause de d'audiences insuffisantes soit disant,. C'est nulle . Le directeur des chaînes est nul je ne saurais jamais la fin de la saison 6,7,8,9,10.