Le mouvement se poursuit au sein du groupe de Daniel Kretinsky : la dernière salle des ventes d’Interforum, basée à Ivry sera fermée en juin prochain, selon les informations communiquées à ActuaLitté. Alain Danjou, directeur de la distribution chez Editis, a informé les six salariés concernés ce 8 janvier.
Le 09/01/2025 à 10:38 par Clément Solym
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09/01/2025 à 10:38
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En janvier 2021, la filiale de diffusion-distribution fermait le rideau de trois salles de ventes : à l’époque, se profilait le départ du groupe Le Seuil/La Martinière, devenu propriété de Média Participations. En janvier 2022, les catalogues seraient pris en charge par Média Diffusion, entraînant de grands bouleversements pour la structure.
Dans la foulée, trois salles de vente, espaces historiquement privilégiés dans la relation avec les libraires, pliaient boutique. Les difficultés financières justifiaient ces mesures, expliquait la direction, ajoutant : « Ce n’est pas une surprise, si d’autres groupes ont fermé la quasi-totalité de leurs salles de ventes ces dernières années. »
En guise d’alternative, pour la région parisienne, la direction décidait d'un report de ce service vers Ivry-sur-Seine « même si plusieurs libraires sont déjà passés sur le service que propose l’entrepôt de Malesherbes », nous assurait-on.
Dès juin 2017, des investissements pour moderniser les lieux : outre les titres des maisons Editis et des éditeurs distribués, on y retrouvait ceux de La Martinière et de Média Participations. S’y étaient ajoutés les titres de Madrigall et des éditeurs partenaires. À l’initiative d’Éric Levy, alors président d’Interforum, la salle prenait une belle ampleur — d’autant que la société d’Antoine Gallimard avait fermé sa propre salle fin mars 2017.
Conçue pour simplifier l’approvisionnement des libraires, la salle des ventes représentait par le passé la jonction entre la diffusion et les points de vente. Avec, notamment, une volonté d’efficacité, comme la possibilité de fournir un ouvrage commandé entre 24 et 48 h maximum — du moins dans la perspective qui guidait celle d’Ivry à l’époque.
Plus globalement, la salle des ventes servait à dépanner aussi bien qu’à flâner, et, pourquoi pas, découvrir. En fermant Ivry, Editis supprime donc sa dernière salle, où travaillaient six salariés – dont certains ont de nombreuses années d'ancienneté.
Qu’attendre ? À moins d’une mobilisation des éditeurs du groupe et par extension les éditeurs partenaires, la fermeture semble inéluctable, puisqu’annoncée par Alain Danjou. « Les éditeurs du groupe doivent se mobiliser pour préserver la salle », lance un salarié. « C’est le seul endroit où sont exposés les ouvrages du groupe. Plus de salle, plus de livre en présentation. »
Et d’ajouter, sarcastique : « Sauf à ce qu’on vienne les regarder passer sur la chaîne à Malesherbes — et à Tigery, pour les nouveautés. » La fermeture n’impactera cependant pas que les ouvrages pris en charge par Interforum : ceux de Madrigall et de Média Participations, présents depuis 2017, perdront également cette visibilité.
Sollicité, le groupe Editis n'a pas encore apporté de précisions sur cette fermeture.
Une réunion extraordinaire du CSE central d’Interforum est prévue ce 20 janvier, pour aborder le projet de fermeture de la salle des ventes d'Ivry et, corollaire, celui du licenciement économique des salariés concernés.
Afin d’empêcher toute tentative d’intox, ActuaLitté communique un extrait de la Convocation et ordre du jour réunion extraordinaire du CSE Central Interforum, daté du 9 janvier, et signé par la Direction, en la personne d’Alban Hocquet-Gallet, en tant que présidente du CSE Central et Directrice des Ressources Humaines d’Interforum.
L’ordre du jour, on le voit, ne laisse planer aucun doute quant aux perspectives envisagées pour les salariés de la salle des ventes d’Ivry.

Crédits photo : Salle des ventes d'Ivry-sur-Seine - ActuaLitté, CC BY SA 2.0
Par Clément Solym
Contact : cs@actualitte.com
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31/10/2025, 12:00
Le marché de l’édition américaine a connu en août 2025 un mois contrasté, où la stabilité apparente cache des signaux de fragilité. Selon le StatShot Monthly Report, publié par l’Association of American Publishers (AAP), les revenus globaux du secteur ont légèrement progressé, portés par les ventes de livres scolaires, tandis que les segments destinés au grand public peinent à retrouver leur souffle.
31/10/2025, 11:28
63 Commentaires
kujawski
09/01/2025 à 11:46
D'un ancien salarié, aujourd'hui retraité : le sens de la fermeture d'Ivry, et des autres salles avant elle, d'Editis et d'autres, c'est que l'économie du livre ne doit plus rimer avec le commerce. Celui-ci allie la marchandise et sa mise en valeur physique, l'envie, l'échange autour des livres, le conseil. Mais il suppose du temps et de la créativité, deux mots chaque jour plus incompatibles avec l'ordonnancement gestionnaire, court-termiste, obsessionnel de la rentabilité et de la productivité, qui a cours dans les grandes entreprises d'édition, de diffusion et de distribution. Surtout quand elles deviennent filiales de groupes concentrationnaires.
Pourtant, maintenir une salle de vente en région parisienne pouvait envoyer un signal de continuité et de combativité face aux évolutions de plus en plus incertaines de l'industrie des livres : plus celle-ci tente de s'adapter à la course à la modernité gestionnaire, plus les résultats sont mauvais. Une salle des ventes n'était pas nécessairement un témoignage du passé, elle pouvait être un outil, avec d'autres, d'un renouveau - sur des bases moins irrationnelles que celles qui prévalent aujourd'hui.
Nombreux et nombreuses sont les auteur(e)s à partager ce sentiment qu'on ne maîtrise plus l'outil d'édition, et qui, à l'instar de comédien(ne)s et réalisateurs(trices) de cinéma, se disent prêts à aller partout où il le faut (pourquoi pas dans une salle de vente) pour faire renaître un environnement favorable à la culture - en l'occurrence, à la lecture.
L'autre sens induit par cette fermeture : quand ils deviennent des lignes de CA dans les grandes entreprises industrielles et concentrées, les livres perdent toute spécificité, et les nuages s'amoncellent sur la création.
Signe, s'il en fallait un, que le salut de l'édition ne viendra pas de son seul traitement macroéconomique, mais aussi du retour à sa nature culturelle et à sa vocation de transmission et d'élévation. Des mots qui n'entrent plus dans les méninges des "managers".
Comme par hasard !
09/01/2025 à 12:03
Et ben en vla encore une maison nouvelle pour Editis ça fera que la ….cette nouvelle direction est arrivée pour essorer les salariés. On a qu’à voir le panel de Olivennes et Kretinsky partout où ils vont ils font des dégâts.
Tiens en juin ? Bien bientôt, ils vont nous annoncer que les gens qui travaillent à avenue de France vont aller sur Ivry pour y travailler pendant les travaux peu et peut-être dans cette salle de vente. C’est effrayant ce qui se passe chez Edith depuis le rachat.
Salarié
09/01/2025 à 12:42
Oui on a vu le délégué syndical de la cfdt hier avec la chef de la salle de vente avant qu’on nous annonce la mauvaise nouvelle tout le monde devait bien être au courant qu’on allait nous fermer et on sait mettre pas ce qu’on va devenir on est que des numéros. Si jamais on ferme à cause des travaux du siège pour mettre les gens dedans ça sera vraiment degueulasse
Il est loin le temps
09/01/2025 à 13:01
Il est loin le temps de Serge Ortiz qui a toujours défendu la salle de vente. C’est vraiment scandaleux. Et ça le sera encore plus si effectivement les gens du siège sont placés à Ivry pendant les travaux
Ex représentant retraité
14/01/2025 à 14:18
C’est vrai, mais de quelle corrine s’agit il ?
J’en connais plusieurs. Bon courage à
tous
Ancien Délégué
15/01/2025 à 19:34
Corinne qui a fermé toutes salles de ventes.
L ancienne secrétaire du comptoir du livre reclassée à la salle de vente d Ivry
Délégué
16/01/2025 à 09:00
Bonjour
C est Corinne du comptoir du livre qui était secrétaire et reclassé responsable pour fermer les salles de ventes.
C est choses faites
Un lecteur
09/01/2025 à 13:16
Dans son prochain livre « la France doit travailler plus….et les Français être mieux payés » Denis Olivennes écrit : « Il existe une corrélation très nette entre le niveau de revenu et le degré de satisfaction des salariés. Plus ils sont payés, plus ils sont heureux ! »
On voit le genre de personne qu’il est.
Il écrit quelque chose mais il fait le contraire ou alors il veut rendre malheureux les gens ?
Acheter son livre c’est être complice avec ce genre de personnage qui fait plus de mal que de bien dans les sociétés où il s’intègre.
Motion de censure !
09/01/2025 à 20:06
Et bien et bien, une t’elle décision n’est-elle pas un aveu d’incompétence ? Il avait dit qu’il redresserait le bateau, le bateau continue de couler apparemment. Les salariés n’ont jamais autant crié leur colère contre une direction, posez vous les bonnes questions. Il paraît que les équipes de la direction à part se faire des papouilles au 4eme étage et de s’auto congratuler ne font pas grand chose d’autre. Qu’elle belle équipe !!!
Il faudrait avoir le droit à la Motion de censure dans les entreprises quand ça en arrive là
Modernité
09/01/2025 à 20:31
Le groupe de modernise et soit suivre une politique et une logique de rentabilité.
Presque l intégralité des libraires passent leurs commandes à Malherbe ce qui leur permet d être au service de leur clientèle et de faire du commerce.
Déjà les clients commande sur Amazon.
La salle de vente était un gouffre financier, Corinne est la responsable de la faillite
C’est faux
09/01/2025 à 21:41
Corinne n’est responsable de Rien ! Qui est le directeur de la salle de vente ?? Monsieur Danjou, Corinne n’est qu’une exécutante. Et Danjou ne fait qu’exécuter ce que dit Sangouard. C’est elle la responsable et tous ceux au dessus !
Hypocrisie
13/01/2025 à 08:20
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A la tienne...
10/01/2025 à 21:05
"Le groupe de modernise et soit suivre une politique et une logique de rentabilité."
Aller, une claque sur les lesses et au fit !
Isabelle Ménil
10/01/2025 à 04:15
Cette salle des ventes n'a jamais été faite pour faire de la rentabilité, c'est une vitrine, une très belle vitrine ! Quand les libraires y rentrent pour y faire leur course en général ils ressortent avec beaucoup plus que leur liste ! C'est pour cela qu'aucune direction auparavant n'a eu cette mauvaise idée de la fermer ! Elles savaient toutes pourquoi elle existait !
Les salariés qui travaillent dans cette salle des ventes sont des salariés exemplaires, tous sans exception et aucun d'eux n'est responsable de quoi que ce soit dans cette fermeture ! C'est la direction qui a décidé de cette fermeture et personne d'autre ! Je suis très attristée par cette fermeture, cela m'affecte énormément comme beaucoup de salariés chez Interforum. Je suis également choquée par la violence de l'ordre du jour que j'ai reçu hier par la RH qui inscrit les mots : licenciement des 6 salariés ! Quelle violence ! Dans cet ordre du jour il aurait dû être inscrit : reclassement des 6 salariés ! C'est ignoble !!! Et ensuite on nous fait de beaux discours sur un accord du dialogue social, sur un accord Gepp. J'espère très sincèrement que les rumeurs de la fermeture de la Sdv dans le but d'accueillir les salariés du 92 pendant la période des travaux est fausse, si c'est vraiment le cas je ne pourrai qualifier cette décision qui est déjà pour moi scandaleuse ! Et comme si de rien n'était, on reçoit une invitation pour la galette des rois mardi prochain de la part de Mr Olivennes et Mme Lucet. Mais est-ce que la direction peut se mettre dans la peau de ces 6 salariés 2 Secondes ? les tracas, les nuits blanches, leurs interrogations. Se dire que ce n'est pas le moment de trinquer autour d'une galette mais plutôt d'aller voir ces 6 salariés en personne pour aller leur parler de reclassement, les réconforter et non de licenciement ! Ma belle entreprise, que devient-elle ? Le cœur des Hommes ne fait que s'endurcir au fil du temps, il n' y a plus de charité, de compassion. Je pleur aujourd'hui pour tous les salariés de cette salle des ventes, je pleur parce que j'ai mal pour eux mais j'ai aussi mal pour moi, de voir tout cela.
Lecteur
15/01/2025 à 10:13
Si vous avez reçu un ordre du jour comme ça, ça montre bien l’incompétence de votre DRH.
Bon courage !
Salarié
10/01/2025 à 06:22
Si on en est là ça s’est à cause de la cfdt qui est toujours d’accord avec la direction vous croyez que le mec il était là avant pourquoi au lieu de bosser il est passer d’employés à cadre pourquoi à votre avis. Maintenant il va être aussi d’accord pour fermer la salle vous allez voir comment il va se battre pour vous
Salariée
12/01/2025 à 16:25
Il est passé cadre pour son parcours syndical ! Tu parles, sa reconnaissance pour le remercier de son boulot syndical.
Avec combien d’augmentation ? Est-ce vrai qu’il touchait toutes les primes (astreinte, présence, ….) sans jamais avoir travaillé pendant des années ? Est-ce vrai qu’il a eu une augmentation pour combler à toute ces primes ? Le mettre en règle avec la loi sur la transparence des salaires pour ne pas voir qu’il touchait toutes ces primes si c’est vrai ? Si c’est vraiment vrai comment ça s’appelle ça ? Il devrait y avoir une enquête sur tous les élus et délégués de la boîte et du groupe.moi je voudrais voir tout ça
Collaborateur
13/01/2025 à 00:39
Bonjour
Je suis bien d’accord avec vous sur nos chers délégués qui ont toujours des passes droits et des avantages. Soit disant qu’ils se battent pour les salariés… ils ne sont même pas capable de travailler 35h, toujours en délégation alors qu’ils sont chez eux. Ils existent uniquement en faisant du buzz et sont bons qu’à la critique.
Il n’y a aucun dialogue social.
Délégué( es) du Patron au poteau
13/01/2025 à 14:38
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Lecteur amusé
11/01/2025 à 10:53
Allez voir l'article qui vient de sortir dans le Figaro. Denis Olivennes: «Nous payons mal le travail, alors nous travaillons moins que nous le pourrions»
Ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha ha
sebastien
11/01/2025 à 10:57
Vous êtes grave les gens de dire les noms d'untel ou untel, vraiment très grave, le monde pourri de l'entreprise est à vomir en général et pas que chez EDITIS. Sébastien, il n'y en a pas des dizaines. Avez-vous le courage de mettre vos prénoms au moins ? Vous savez où me trouver pour parler ?
Salarié dégouté
11/01/2025 à 11:26
Dans ton post Isabelle, tu as oublié de dire que c'est pour des raisons économiques qu'on licencie ces pauvres gens. Et c'est d'autant plus important car Interforum n'est pas en difficulté financière ou bien alors on nous baratine. J'ai entendu dire que tu réfléchissais à faire un droit d'alerte sur les comptes d'Interforum. Je serai toi ne réfléchis pas vas y fonce ! La vache à lait Interforum ça peut pas continuer surtout quand on voit les embauches en haut des potes. Anne dely pote de Zein qui doit se faire assister par un cabinet et d'une assistante qui nous fait faire les plans micro parce qu'il ne peuvent pas les faire. Des plans de cagibis en plus ! Payer un cabinet qui sort dont on ne sait pas et où est l'appel d'offre de ce cabinet d'ailleurs j'aimerais bien le voir, demande le aussi.
Si lucet est revenu pour faire ce qu'elle fait de sa boîte elle aurait dû rester chez elle après avoir touché son gros chèque. Mais la paie est trop bonne ! Licencier 6 salariés payés au lance pierre et embaucher des gros salaires en haut à tout va ça va continuer longtemps ? Et on nous dit qu'il y a pas de fric pour les augmentations des salariés ! En attendant plein vont se barrer bientôt à la concurrence. Catherine c'est une honte la façon dont vous traitez vos salariés qui vous ont soutenus quand vous êtes partie, comment pouvez vous leur faire ça. Vous avez pleuré avec eux lors de votre départ et maintenant vous leur tournez le dos ! C'est une honte comment pouvez-vous vous regarder dans une glace et bien dormir ? Ha oui c'est vrai que l'argent peut nous faire vite tourner la tête, la paie est bonne j'oublieai. L'argent et le pouvoir ! 2 des 7 péchés capitaux !
Compétitivité
12/01/2025 à 19:16
Trop de langue de bois
La salle de vente d Ivry avait toujours été un garage pour reclasser les salariés qu ils ne savent pas où mettre.
C était aussi un lieu de regroupement familial : Pascale Baron et Laurent etc.
Tout avait été essayé dans cette salle :BOL : la vente par internet.
Amazon est arrivé et c était fini.
La salle de vente est passé de 40 personnes à 6 personnes et non pas les meilleurs.
Corinne avait bénéficié de la promo canapé sans jamais être à la hauteur de ses responsabilités :
Ce qui a provoqué la fermeture de toutes les salles de province.
Ivry n était qu un musée d un autre âge. Alain Danjou épaulé par Corinne et ses bras droit : Baron pascale et Laurent avait explosé l équipe pour prendre la place.
Quand aux délégués syndicaux C est juste une assurance vie comme il le répète la CGT.
Avec tous ces ingrédients l entreprise dans sa globalité est menacée. Lucet et son équipe avait été missionnée pour restructurer et adapter l entreprise à son époque.
Beaucoup de Librairies y compris les grosses avaient Fermé.
Les clients trouvent plus simple de commander par Internet chez Amazon,la Fnac etc
Pour survivre les locataires n ont pas d autres choix que d être à la disposition de leurs clients,et même avec celà ils sont en sursis.
La culture du papier appartient à un autre âge sauf aux Musées.
Isabelle Ménil
12/01/2025 à 20:47
Je suis outrée par vos propos ! Ni Corinne, ni Alain, ni les autres salariés sont responsables de cette fermeture et il n’y a jamais eu de promotion canapé. Vous vous attaquez à des personnes qui viennent d’apprendre que la salle va fermer. Les 3 personnes que vous mentionnez sont là depuis de nombreuses années et ont toujours été à la disposition de la direction. À chaque modification d’horaires etc ils n’ont jamais bronché et ils se sont toujours adaptés. Comment peut-on agresser de la sorte des salariés qui viennent d’apprendre la perte de leur emploi dans la salle des ventes pour laquelle ils se sont énormément investis. C’est inhumain ! Vous êtes une ordure inculte !
Faux ccccccc
13/01/2025 à 12:35
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Mensonges
13/01/2025 à 21:12
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Familiarité pas aux hasard
16/01/2025 à 09:14
Tu as fait du chemin Isabelle pour être copine avec Alain et Corinne deN en passant par le DRH.
Il est trop tard pour pleurer pour les familles brisées des équipes des des salles de ventes de province qui sont toutes fermées.
Quand aux six personnes qui vont être licenciées à Ivry puisque vous disiez qu'ils ont ont des qualités, donc ils n auront aucun problème de rebondir ailleurs.
Par contre personne ne peut empêcher le groupe d évoluer et de s adapter au marché.
Salarié mlh
12/01/2025 à 21:51
Le mec de la cfdt il était là bas mais il doit se être content car ils ne votaient pas pour lui et ça fera du boulot pour malesherbes. Il veut plus de volume il veut plus de Tigery et il veut plus de la salle de vente de Ivry pour lui il dit que tous les salariés bouffent le fric d'Interforum. C'ets pas un bon délégué syndical C'ets pour ça que la direction lui a donner une promotion parce que Alain il dit que si ça avait été lui jamais il ne lui aura donné sa promotion il nous a dit que c'est la nouvelle drh Russe qui voulait pas lui. Demandez tout de tous les élus cfdt vous allez sauter au plafond aidé tous par la même personne. C'zts un vrai panier de crabe dans cette boîte si tu vents ton âme t'a des promotions et si tu tiens tête tu as rien que dalle
Olivier Matras
13/01/2025 à 12:36
Ces mises en cause personnelles sont vraiment dégueulasses, Corinne et ses collaborateurs ne sont pour rien dans la fermeture du site qu'ils subissent au premier chef. Il y a toujours des anonymes en chaussons derrière leur écran pour ajouter de la haine aux difficultés. C'est vraiment dommage
Kujawski
13/01/2025 à 18:23
Souvent, des drames économiques et sociaux libèrent la parole, tant mieux, mais aussi les rancoeurs, rancunes et haines. Et là, halte au feu. On en vient à mettre en cause n'importe-qui pour n'importe-quoi ("nan mais attends, c'est é-vi-dent") pourvu qu'on tienne un(e) éventuel(le) responsable ou coupable, pourvu qu'un soupçon puisse trouver un semblant de preuve. Un semblant, ça suffit pour condamner, et, le plus souvent, on y a recours quand les lendemains sont peu sûrs, voire carrément noirs. De la rage, et on tire sur tout ce qui bouge.
Les seul(e)s bénéficiaires de ces étalages de divisions entre salarié(e)s, ce sont les directions et actionnaires, gestionnaires à la hache tranchante. On attend des "managers" de l'imagination, du courage, des plans de revitalisation, dans l'édition, dans l'accès des consommateurs aux livres, pour que les livres gagnent des batailles contre la tech, les écrans, Amazon et autres... Pour que travailler dans les livres ne signifie pas, ou moins, précarité et danger. Peine perdue, les "managers" ne s'occupent que de couper des branches, casser cette "ressource humaine" dont ils gavent leurs discours, et plastronner devant leurs N+1 parce qu'ils ont gagné un demi-point de rentabilité.
Courage, ex-collègues. Unissez-vous, ne vous divisez pas.
Sans vergogne
13/01/2025 à 18:34
Et comme la direction n'a honte de rien, le comex, sont partis se préparer pour festoyer ce soir dans un restaurant chic. Pendant qu'il y en a qui perdent leur boulot, leur bureau. Sans parler de l' annonce des nao catastrophiques pour les salariés de toutes les maisons. Alors qu'on nous demande de faire des économies eux ils vont se goinfrer, festoyer. C'est dégueulasse. Franchement ils fêtent quoi ? Ils n'ont pas de figure. Vraiment sans vergogne
Salarié Editis
14/01/2025 à 06:00
Nous avons une direction incompétente. Elle n'y connaît strictement rien au monde de l'édition. Elle arrive et casse tout, détruit tout sur son passage jusqu'aux rêves des salariés. Ne parlons pas de cette nouvelle DRH du groupe aidée par les anciennes pour garder leur boulot, même pas capable de faire un accord sur le dialogue social, obligée de copier des textes de loi en plus en omettant les principaux. Les gars ne signez pas ça, vous allez vous faire avoir c'est gros comme une maison. Elle préfère tailler dans le vif et licencier de gentils salariés, pas très bien payés que de dégager ceux qui ont leur bureau vide au 4ème et qui touchent une blinde. Elle préfère nous mettre dans des cagibis pour faire rentrer 700 sardines et les mettre en télétravail que de penser au bien être des salariés. Vous vous rappelez le mec quand il est arrivé pour nous amadouer en nous bassinant sur la bienveillance. On ne doit pas lire la même définition de la bienveillance. Et quand on voit tous les anciens qui exécutent à la lettre tout ce que cette bande d'incapables leur demande de faire, c'est pitoyable. On dirait des bons petits toutous devant leur maître en remuant la queue. Ils sont pathétiques, ridicules ils s'en foutent complètement des salariés ce qu'elle veut c'est faire du fric, de la rentabilité sans tenir compte du bien être des salariés et tout ça avec l'appui de certains syndicats qui pensent qu'à eux. C'est l'année des catastrophes, la tempête est arrivée chez Editis et elle détruit tout sur son passage. Cette nouvelle direction a placé des gens comme le fait macron au gouvernement, des gens qui n'y connaissent rien ! En attendant les bons, ceux qui sont là depuis longtemps et qui font du super boulot se cassent à la concurrence porce qu'ils n'en peuvent plus. ils vont les remplacer, ou pas, par leurs petits copains vous allez voir. J'espère qu'à leur galette personne n'ira. Il faut montrer qu'on n'en peut plus. Moi la galette je la mange avec mes amis pas avec des gens qui nous font du mal. Boycottez tous la galette, laissez la direction s'empiffrer toute seule. Ils pourront se faire une belle collection de fèves !
Salarié
14/01/2025 à 23:31
Le "mec" parait qu'a son discours galette, il a demandé une autre idée plutôt que nous serrer comme des sardines bah moi je l'ai l'idée je vais lui demander un rendez-vous au "mec" je vais lui dire casse-toi c'est ça la bonne idée tu déboule là et tu prends combien par an garçon ?
Tralala
15/01/2025 à 21:11
Quel beau commentaire Mme Menil.
Le dialogue social, vous n'en voulez pas.
Le dialogue social, ce n'est pas Je veux, je demande, je l'aurai.
Il faut savoir négocier, et accepter.
Mettez vous au boulot, et prenez exemple sur les sites de distribution .
Arrêtez de vous battre pour les choses qui n'en vales pas là peine.
La SDV d'Ivry est un gouffre, arrêtez avec votre vitrine.
Arrêtez de critiquer vos avis DS, et regardez vous, vous aussi vous profitez gracieusement,
comme votre amis de la CFDT
Au plaisir de vous lire.
Bonjour
14/01/2025 à 07:46
La responsable de cette fermeture c'est la nouvelle directrice Catherine lucet et plus exactement dalila Zein et Pascal Rus faut pas chercher plus loin. Elles taillent pour pouvoir elles continuer à s'en mettre plein les poches. Catherine, Pascale et Dalila c'est pas pour rien qu'elles ont la réputation qu'elles ont. Et dire qu'Amelie courty a été dégagé pour ça (Rus). Pour mettre ça à sa place. La pauvre elle doit se retourner dans sa tombe. En fin de compte c'est vrai que les femmes quand elles ont du pouvoir sont plus inhumaines que les hommes. Si vous les voyez au 4ème comment elles sont ridicules. Ha j'ai mal à mon doigt. Ha bonjour mon pti francois. Devant certains mecs elles jouent les intéressantes, ça elles savent bien le faire par contre. Qu'est ce qu'on se marre et qu'est ce qu'on se fout de leur tête. Ça nous fait moins rire quand on apprend qu'elles vont dégager nos collègues de la salle de vente. Vous pouvez compter sur moi je vais boycotter la galette
Salarié
14/01/2025 à 23:48
Ca se la pète au 4ème étage pendant que nous, en bas, on subit leurs choix.
bla bla bla bla, c'est pathétique.
Vous vous mettez quand au boulot ?
Y en a on ne sait même pas ce qu'ils font comme métier là haut...
Il passe leur vie en réunion ou au téléphone et on sait pas ce qu'ils font on sait pas ce qui produisent en fait.
Interview Olivennes
14/01/2025 à 09:57
Allez regarder l'interview de denis olivennes sur France TV d'hier. Vous allez vous marrez. Tout et son contraire. Comment peut-on encore écouter toutes ces bêtises. Il est tellement ridicule
Vieux
14/01/2025 à 23:40
Hey Vieux,
Chaque décision est un coup de poignard dans le dos des salariés. On crève littéralement sous ton management de M..., tu transformes notre boîte en champ de ruines et tu t'en bas royalement les ... !
Ton ego surdimensionné et ton incompétence totale vont couler la boîte, et quand tout sera foutu, tu partiras tranquillement avec ton parachute doré pendant qu'on crèvera.
Ainsi fait DO
Partout où il met son grain de sel