Depuis novembre 2023, Editis a changé de propriétaire, avec Denis Olivennes en président non exécutif et Catherine Lucet en directrice générale. S’il était ardu de les tenir comptables du bilan du précédent proprio, Vivendi, cette année 2024 marque véritablement la prise en main. Et presque, presque, certains regrettent l’ère Bolloré…
Le 20/11/2024 à 08:30 par Nicolas Gary
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20/11/2024 à 08:30
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À quoi ressemblera le Editis Media Groupe, qu’annonçait en grande pompe Denis Olivennes en avril dernier ? Une structure qui serait « remarquable et solide par la qualité de ses maisons, de ses éditeurs, de son appareil de distribution et de diffusion », assurait-il. Mais ce 12 novembre, à l’occasion du Comité Editis, l’esprit n’était pas à l’armistice.
Interrompue par des salariés manifestement peu satisfaits du régime actuel, la réunion s’est finie en eau boudin. « Ils sont sortis avec [Pascale] Rus [directrice générale adjointe, NdR], pour échanger, mais Olivennes est parti sans saluer qui que ce soit et Rus était très en colère de la manière dont les choses tournaient », rapportent des témoins.
C’est que les résultats de 2023, certes décevants, n’étaient pas imputables à la nouvelle direction, présentée aux salariés mi-novembre de l’an passé. En revanche, ceux de 2024, eux, s’annoncent mal. « La saisonnalité est rarement exceptionnelle : le premier semestre, au sortir des fêtes de fin d’année, n’affiche jamais des résultats mirobolants », nous confirme une éditrice.
Un point commun à l’ensemble des maisons d’édition en France, qui n’a rien de propre à Editis. De fait, le premier groupe de l’Hexagone, Hachette Livre, accuse un repli de 0,7 % du chiffre d’affaires sur ce même premier semestre.
Les enjeux du second semestre sont toujours plus importants, mais les résultats montrent déjà que la gestion Lucet/Olivennes n'a pas abordé les six premiers mois de l'année avec succès. Le duo avait d'ailleurs attaqué sa prise de fonction face à une grève jamais vue, devant le siège social de l’avenue de France, organisée mi-décembre à l’initiative de Force Ouvrière.
Après les résultats décevants de 2023, les salariés attendaient les mesures et la nouvelle stratégie promises par Denis Olivennes. Selon les informations obtenues par ActuaLitté, la réponse prend de court : « Tout repose sur la fin d’année », nous glisse-t-on : « On enregistre plusieurs dizaines de millions d’euros à remonter. »
Pour expliquer le contexte, on avance l'engouement des clients pour le livre d’occasion. En outre, les acheteurs de livres neufs se maintiennent avec peine, quand ils ne diminuent pas : la seconde main, elle, aurait le vent en poupe. Au point de frapper sévèrement le deuxième acteur éditorial français – voire l'industrie dans son ensemble ?
Selon l’étude de la Sofia présentée en mai dernier, ce secteur a écoulé quelque 80 millions d’exemplaires générant 350 millions € en 2023. Non négligeable : cela représente 12 % du CA des éditeurs dans l’Hexagone. Et manifestement, la solution idéale a échappé aux groupes éditoriaux.
Heureusement, le Goncourt 2023 fait tourner la distribution chez Interforum : le roman de Jean-Baptiste Andrea n’est toujours pas passé en poche et maintient encore de bonnes ventes en grand format. Plus de 156.000 exemplaires ont été vendus cette année, sur les 582.000 au global (données : Edistat), Veiller sur elle apporte un peu d’oxygène. De même, Moi, Fadi, Le Frère volé de Riad Sattouf approche des 95.000 ventes.
Reste qu’il faut « redresser la barre d’Editis, tout simplement », comme l’a assuré Denis Olivennes. Et ce, parce qu’en prenant les rênes du groupe, le niveau des résultats découverts a laissé comme un grand moment de solitude. De fait, voilà cinq ans, avec un chiffre d’affaires similaire, l’entreprise dégageait un résultat nettement supérieur.
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Certains apprendront ainsi à porter de lourds espoirs, comme c’est le cas d’Adrien Bosc, peut-être « l'éditeur le plus brillant de sa génération », estime le président Olivennes en personne. À la tête de Julliard depuis mars dernier, marque jusqu'alors en perdition, avec Stéphanie Chevrier pour chapeauter le pôle incluant La Découverte, Adrien Bosc arrivait avec sa maison et ses auteurs. Et dès sa première rentrée littéraire, hop, le transfuge venu du Seuil obtient le prix Décembre avec le livre d’Abdellah Taïa, Le bastion des larmes.
Dans la foulée s’entame un déménagement de CMI France, qui intégrera les locaux du 92 avenue de France, où se trouve le groupe éditorial. Un emménagement qui pèse sur le moral des salariés, avec la création d’open spaces, vu par beaucoup comme « un dossier de trop », qui s’ajoute à la lassitude rapportée.
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Alors, pas de fusion entre CMI et Editis, seule la création d’une holding pour la gestion au niveau supérieur est prévue. Mais dans le même temps, équilibrer l’occupation des locaux – certains étant vides lors de journées de télétravail intensif.
Ensuite viennent les nouvelles : l’acquisition de Delcourt, une stratégie qui n’est économiquement pas sans risque et fera peser une certaine charge sur les finances. Pour autant, c’est presque une victoire – qui se concrétiserait début 2025, ne manque plus que la validation de l’autorité de la concurrence française. Le montant du rachat pas plus que les modalités de l'investissement ne sont divulgués pour le groupe qui affiche un CA de 178,4 millions € en 2023.
Delcourt n’a peut-être pas été remportée à la barbe des concurrents, puisqu’il fallait une capacité financière d’un côté et le respect des règles de la concurrence de l’autre. Pour autant, c’est une concrétisation réjouissante, puisqu’Editis lorgnait sur le groupe de Guy Delcourt au point d’avoir failli l’acheter voilà quelques années.
Autre bonne nouvelle, les quelque 5000 références de Auzou qui arriveront en distribution pour l’an prochain – d’autres éditeurs tiers emboîteraient le pas pour 2026. Un critère : beaucoup de références, mais des marques au CA peu élevé. De fait, les éditeurs partenaires auraient encore augmenté leur position, se rapprochant des revenus générés en 2022, à la hauteur de 125,8 millions €, comme le dévoilait ActuaLitté. L’effet Dicker, Goncourt ou encore L’Histoire de Jérusalem.
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Quant aux 9500 références de Delcourt, elles apporteront également un soutien pour les comptes d’Interforum, mais pas avant 2026. Pour ce qui est de Delsol, la structure de diffusion, elle restera distincte d’Interforum, qui récupérerait cependant, avec sa filiale DNL (Diffusion Nationale du Livre), le 2e niveau et les supermarchés.
Mais une question demeure pour Editis : le CA du premier semestre avoisinerait celui de 2021, mais le président est préoccupé : « Il a pointé le fait que nos résultats sont moins bons que ceux des concurrents, estimant que c’est un souci en soi », nous précise-t-on.
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Évidemment, la période des Jeux olympiques n’aura été profitable à personne et les scuds qu’expédie régulièrement Matignon et les ministères n’ont rien de rassurant. Or, en matière de contexte macroéconomique, tout le monde est logé à la même enseigne. Pourtant, les résultats du second semestre seront cruciaux pour l’entreprise au point que le résultat opérationnel courant a été revu à la baisse.
Redresser la barre ou remonter la pente : Editis disposerait de toute la confiance de son actionnaire, avec le défi à relever de redevenir une société attractive dans le paysage éditorial français.
Crédits photo : siège sociale de Editis - ActuaLitté, CC BY SA 2.0
Par Nicolas Gary
Contact : ng@actualitte.com
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SNPEP FO
20/11/2024 à 13:15
Communiqué FO du 20 novembre 2024 en réponse à Mesdames Zein et Hocquet-Gallet qui nous demandent notre position sur leur accord NAO :
Acte final (ou peut-être pas 😉) :
Bonjour mesdames,
Notre organisation syndicale a lancé une grève le 30 septembre, la direction a décidé de répondre à ce mouvement par une NAO qui a démarré le 16 octobre au lieu de venir discuter directement avec nous et les salariés au moment de cette grève.
Le 13 novembre au soir vous nous envoyez votre projet d'accord NAO, dans celui-ci vous osez inscrire que les dates des réunions sont en accord avec les OS, ce qui est totalement faux, à aucun moment notre organisation syndicale vous a annoncé son accord avec ces dates, bien au contraire.
Vous nous demandez de nous positionner sur celui-ci 4 jours après le 8 novembre, date de la dernière réunion.
Notre organisation syndicale n'est pas à la botte de la direction et nous trouvons cela très osé de votre part, sachant que comme nous vous l'avons répété à chaque réunion, les salariés n'ont pas fait une grève pour faire des NAO 16 jours après et dont nos revendications ont été balayées.
Vous avez même osé nous présenter une prime de rendement ridicule pour les salariés de la distribution dont aucune organisation syndicale était demandeur. Les discussions sur ce sujet ont d’ailleurs monopolisé les négociations chassant au passage le reste des vraies revendications portées par FO. Partant de ce constat, peut-on parler de négociation ?
C'est pour ces raisons que nous ne répondrons pas à vos propositions indécentes pour les salariés qui ne correspondent en rien à nos revendications.
Faites ce que vous avez à faire avec cet accord NAO et notre organisation syndicale vous répondra comme elle le voudra au moment où elle le voudra avec la colère des salariés que vous avez ridiculisés avec vos propositions. Ils se sentent méprisés par une direction qui, le jour de la grève n’a même pas pris la peine de venir discuter avec eux.
Mesdames, sachez qu'on ne répond pas à un mouvement de grève lancé par FO par des NAO !!
FO défend les intérêts de l’ensemble des salariés d’Interforum :
De tous les sites et de toutes les catégories
Castor et Pollux
20/11/2024 à 13:18
Monsieur Olivennes a, je l’espère, conscience des difficultés traversées par les salarié.e.s et des stigmates laissés depuis les années Covid, l’attente, la perspective du dépècement d’Editis en actions, l’attente, les remous liés à la présence de notre ex-propriétaire fortuné, les réorganisations, l’attente, la mise en vente, l’attente, la décision de la commission européenne, l’attente, le rachat, l’attente, la réorganisation, l’attente, l’arrivée d’Interforum, l’attente, l’arrivée de CMI, l’attente…
« Salarié.e.s d’Editis : professionnel.l.es de la résilience, salle d’attente 92 ADF. Prendre de quoi manger et dormir, l’attente peut être longue. En revanche des livres seront mis à votre disposition pour patienter. »
Qui saurait dire depuis combien de temps les salarié.e.s subissent ? 5 ans ? Plus ? 5 ans dans l’incertitude, sans amélioration des conditions de travail. Des augmentations ? des formations ? Non ? Une prime PEPA entière ? Vous n’y pensez pas ! Pourquoi récompenser nos salarié.e.s ? Pourquoi diable les motiver ? Pourquoi les aider à payer les charges de leurs logements dans lesquel.le.s ils/elles travaillent ?
La direction ne respecte pas des salarié.e.s investi.e.s, professionnel.le.s, et surtout courageux. Quel dédain.
Je les félicite et leur rends hommage. Bon courage à toutes et tous et merci pour votre travail.
Le groupe est fort grâce à ces personnes patientes, résilientes, professionnelles, investies, passionnées, expertes malgré ces longues années de chahut. Elles méritent autre chose que le mépris.
Editis sera fort collectivement et non pas en se battant contre ce qui le constitue. C’est le collectif et la confiance qui sont à rebâtir pour aller chercher ce que monsieur Kretinsky demande. Si la stratégie est uniquement mathématiques. C’est triste.
Question
20/11/2024 à 14:32
Qui est madame Zein, ne me dites pas que madame Gallet a un binôme ?
Oyez Oyez
20/11/2024 à 15:39
Hey les petites mains pendant que vous bossez pour l’actionnaire, il faut que vous sachez que tous les membres de la direction sont en train de se goinfrer en séminaire aujourd’hui. Alors il n’y a pas de fric pour certains mais il y en a pour eux, comme d’habitude. Attendez les demain en leur demandant des comptes. Combien va couter ce séminaire encore ? Ououououou
Allo, ici la base
20/11/2024 à 17:21
Ha ?
Ils sont peut-être en train de faire un énième team building, genre entraînement à l’auto-congratulation, pendant que la boîte part en vrille.
Laissons-les se bisouiller c’est sûr, ça va aider à avancer, ce sont des génies !
Habibi
20/11/2024 à 15:42
Madame zein c’est la petite main de madame Gallet il paraît elle est arrivée avec la nouvelle directrice comme assistante de gallet chez interforum
Colère
21/11/2024 à 07:27
Comme d habitude, les gros salaires s enrichissent pendant que les " esclaves" souffrent physiquement et mentalement....vous ne pensez qu à vos primes et votre tranquillité
On se fout de nous en voulant nous donner des miettes...vous vous enrichissez sur notre dos ...
Vous êtes écœurant....
Et en plus maintenant y a un nouveau cadre que vous avez bien placé...
Colère des cadres de Malesherbes
21/11/2024 à 08:28
Madame gallet contre l'avis de monsieur Danjou vient d'insulter tous les cadres de Malesherbes ainsi que les employés et les agents de maîtrise. C'est inconcevable, irresponsable et irrespectueux envers nous d'avoir placé un cadre qui était il y a 2 mois un employé logistique E9. Dans toute l'histoire d'Interforum ça ne s'est jamais vu. Maintenant il va falloir expliquer à tous les employés de Malesherbes qui bossent comme des malades pourquoi eux n'ont pas de promotion. Vous faites n'importe quoi madame gallet vous nous embêtez depuis des années vous insupportez tout le monde avec vos mensonges pour nous faire avaler des pillules. Même Alain ne trouve pas ça normal vos agissements et pourtant vous continuez à mettre la zizanie dans nos centres de distribution. Quand allez-vous vous arrêter ! Quand la direction va mettre le ola de tous vos agissements. Respectez les salariés de Malesherbes en les rémunérant correctement au lieu de faire des promotions qui n'ont aucun sens à part servir vos propres intérêts. Sachez que les cadres de malesherbes n'avalent pas et n'avaleront pas cette dernière pillule. Je pense que vous êtes au courant de nos actions de mécontentement que nous continuerons à faire pour manifester notre colère. Que vous soyez au courant que S'il y a une prochaine grève alors nous serons à côté des employés.
Cadre
21/11/2024 à 09:07
Moi je n’ai pas voté pour lui il n’était pas dans la liste cadre aux élections du CE et les employés ont voté pour lui. je ne comprends rien il faudra nous expliquer comment ça fonctionne tout ça. Il n’est pas question que cette personne défende les intérêts des cadres qui a fait le contraire depuis des année. C’est insupportable pour tout le monde et effectivement très insultant pour nous
C’est stratégique
21/11/2024 à 09:35
Si il avait été nommé cadre avant les élections il n’aurait pas été élu c’est pour ça que la direction l’a mis cadre c’est stratégique c’est comme ça que mon chef me l’a dis en plus il a eu une augmentation et nous on a le droit à niet
Salarié
21/11/2024 à 09:15
Ha bon Alain n’étais pas d’accord alors pourquoi ça se fait contre son avis alors ? C’est qui le patron à Malesherbes ? Est-ce que cette personne va nous donner des ordres ?
Scandaleux
21/11/2024 à 09:18
C’est scandaleux cette nouvelle nomination ! On nous dit restrictions de budget pour tout et surtout pour nos employés et le l’autre coté on nous impose ça. C’est vraiment scandaleux. La direction nous démotive complètement. La prochaine fois vous trouverez d’autres cadres pour taper sur la tête des employés quand il y aura une grève
Adf
21/11/2024 à 09:54
J’espère que monsieur Olivennes va prendre en compte les demandes des salariés parce qu’ils en ont marre
Cadre aussi
21/11/2024 à 11:06
Je suis cadre et cette histoire me monte à la tête c’est effectivement insupportable et irrespectueux pour nous les cadres et les employés aussi. Bravo la direction vous faites là preuve d’incompétence devant la France entière
T’CHOUPI cherche son photocopieur
21/11/2024 à 21:43
T’Choupi est triste, alors qu’il revenait de déjeuner entre midi et deux, on lui a piqué son photocopieur en lui laissant à la place un tas de poussière. Après les couverts de la cantine qui disparaissent c’est le tour des imprimantes. S’il vous plaît madame Corcia faites un appel pour retrouver les photocopieurs de T’choupi pour qu’il ne soit plus triste
Plume révoltée
21/11/2024 à 21:54
Pendant l’heure de déjeuner, les photocopieurs disparaissent…
Pas un, pas deux, mais une cinquantaine !
Une enquête digne du Club des Cinq.
Suspect : THE Boss...
Il faut gagner des mètres carrés et des €€€€€€€€.
On en est là : l’absurde devient la norme.
L’église au milieu du village
22/11/2024 à 08:33
Ne vous en prenez pas à Alain, help ce n’est pas lui le fautif par contre la DRH veut lui faire porter le chapeau comme d’habitude elle n’assume rien
MDR
22/11/2024 à 15:47
https://www.instagram.com/reel/DCZms3MuJun/?igsh=bm1uZnVrNmtoMHFx
Pokémon
23/11/2024 à 00:04
Cette nomination n'a pas été décidé ni par Alain ni par Albane c'est bien plus haut que tout ça se passe. Albane n'aurait jamais fait cette monstrueuse erreur. Elle était contre cette décision. Il y a tellement de choses qui nous dépassent et qui vont continuer à l'être. Bientôt Editis ne sera plus ce grand groupe d'édition que nous avons tous connus, il sera une risée, une honte, il l'est déjà d'ailleurs
La cerise sur le gâteau
24/11/2024 à 13:21
Mais qu'est que je viens d'apprendre moi assistante commerciale depuis des lustres chez interforum qu'une personne qui ne travaille pas depuis des années à la distribution comme employé logistique vient de passer cadre alors que ça m'a toujours été refusé ? Mais c' est quoi cette boîte à 2 balles qui n'a même pas le moindre respect pour ses salariés qui bossent comme des malades. Non mais alors là moi et tous mes collègues on veut des explications sinon on peut vous dire que les commerciaux vont faire sans nous en décembre. Franchement je suis dégoutée et écœurée. C'est quoi cette direction mais je rêve, interforum est véritablement cauchemar pour ceux qui y travaillent
Habibi
24/11/2024 à 21:50
Ce genre de disfonctionnement démontre bien qu’il y a de véritables lacunes au service des ressources humaines au sein d’Interforum. Peut-on d’ailleurs appeler ça service des ressources humaines quand on sait qui le dirige, il n’y a rien d’humain là dedans
Le Juge
25/11/2024 à 10:39
"Refusée", "boite à 2 balles", "malades", "dégoutée", "écœurée", "cauchemar"...
Il est temps de partir, non ?
L’avocat
25/11/2024 à 14:09
Oui effectivement vous avez raison, globalement chez les concurrents les dirigeants sont mieux entourés, plus cultivés et surtout avec des DRH beaucoup plus compétentes et plus humaines
Le Juge
25/11/2024 à 10:40
Bon globalement l'article est un bon résumé de l'année écoulée, avec quelques éléments de contexte globaux intéressant sur le marché de l'édition. Mais on comprend pas trop où l'auteur veut en venir...
Nicolas Gary - ActuaLitté
25/11/2024 à 10:44
Bonjour
L'auteur ne veut en venir nulle part ailleurs qu'à dresser un bilan des six premiers mois.
Merci.