#Roman étranger

Ce que le colonisateur ne pourra jamais voir

Rares sont les récits qui dessinent le monde avec une langue prodiguant ses propres couleurs, son encre de pierre, les fulgurances des « fins » et des « débuts »

Le 08/11/2024 à 17:45 par Faris Lounis

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08/11/2024 à 17:45

Faris Lounis

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En langue arabe comme en traduction française (par Marianne Weiss, Editions Actes Sud/Sindbad), Je serai parmi les amandiers [سأكون بين اللَّوز] du poète, écrivain et scénariste palestinien Hussein al-Barghouti est une magistrale ode à la vie, à la beauté des pierres blanches étouffées de barbelés, écrite par temps de maladie et de catastrophe en terre de Palestine colonisée.

Avant d’écrire, il dessine, met en place les pierres blanches qui accueillent son histoire, construit sa trame, d’une errance à l’autre. Dès les premières lignes de Je serai parmi les amandiers, la force des couleurs de l’arrière-pays de Ramallah s’accapare du lecteur qui, pris dans la virtuosité sensuelle du style, se laisse porter par la magie des ruines chantantes et des collines prodiguant des cris de lynx, comme les enfants en danger, face à la sauvagerie d’une occupation qui étouffe et ensanglante la terre des barbelés de ses colonies.

C’est un récit fait d’une lumière bleue et de pierres blanches qui parlent, écrit par temps de maladie et de catastrophe durant l’Intifada qui a commencé en septembre 2000. Un Palestinien affirme son histoire écrite sous la dictée d’un monastère en ruines et attentif à tout détail, mineur comme majeur : le Deir al-Jouwani.

Rythmé par les vers de Mahmoud Darwich et les chants de Fayrouz, la Dame des Arabes, Hussein al-Barghouti signe avec ce récit un classique de la littérature arabe et universelle qui, par une rare et singulière sensibilité, ressuscite une Palestine naufragée sous les sables de la Nakba — qui se poursuit — et ouvre la voie à un panarabisme cosmopolite, émancipé des névroses et impasses de l’instrumentalisation du religieux et de l’identité.

Un jour, aux portes de la « roche multicolore de Pétra » que l’auteur considère comme son « ombre », lui dont « le sort réduit à observer et passer », il dit à propos de l’employé auquel il devait payer un billet d’entrée au prix fort pour voir la Khazneh : je ne suis « pas plus “étranger” que lui à tout à cet héritage ! ».

Auprès des ruines du monastère de Deir al-Jouwani, tout appartient à Hussein al-Barghouti, le poète à la mystique quasi païenne dont la voix et la personne se confondent souvent avec celles du rhéteur Tirésias : les prophètes de la Bible, les Évangiles du Christ, le Coran du Messager de Dieu, Homère et les rhéteurs grecs, les poètes arabes préislamiques, les empereurs romains d’Orient et d’Occident, les Lumières européennes, mais aussi celles de la Nahda arabe.

Nul besoin de chercher un fumeux « choc des civilisations » chez un artiste — un Palestinien qui chante son droit à la vie et à la liberté — qui pourrait être à la fois le fils d’Alexandre de Macédoine, d’Amon, de Ptolémée, de Rûmi et de Mutanabbî.

La maladie, « un point de vue sur le monde »

Interroger les ruines, inlassablement. S’accoutumer à l’exercice. Une drogue qui apprend à l’être humain qu’il n’est que la somme des « questions posées par la montagne sur sa propre fin, cette fin qui trouve son prolongement dans ses plantes, dans ses perdrix, ses ghaririyas [animal de la famille des lynx], ses gazelles, ses vipères et ses habitants ». Comment parler de la maladie avec la langue d’un homme en bonne santé ?

Pour Hussein al-Barghouti, c’est en s’adressant à la montagne et ses ombres. En rentrant chez soi, voir et revoir, trouver refuge auprès d’une « “beauté qui a été trahie” ». Retourner dans l’arrière-pays de Ramallah, parmi les amandiers d’un jardin d’enfance. Il y a un temps pour l’oubli, après lequel vient celui de l’éclosion des plantes nouvelles, des insectes, le bourdonnement des abeilles, le cheminement des fourmis, le rire des herbes, de l’oignon vert et du soleil qui réchauffe…

Hussein al-Barghouti, cet homme du retour, un scénariste écrivant et filmant le testament de sa vie, se retrouve soudain disposé à être plus attentif à un temps qu’il avait « oublié ou même trahi », prêt à entendre « l’expression de la vie qui se préparait à renaître en moi, le déploiement de la première feuille hors du bourgeon ».

Un retour aux « débuts », quand l’horizon des « fins » paraît moins sûr, obscur. La maladie fait parfois des miracles, déchoie le corps, le reconstitue après, autrement : « C’est le cancer, écrit-il, qui m’avait ramené ici, avec cette douleur persistante dans le bas du dos, persistante au point de devenir ennuyeuse. […]. Pour moi, la maladie est un point de vue sur la vie ». Retourner donc, sur les pas d’un ancêtre dont l’écho habite toujours les ruines du monastère de Deir al-Jouwani.

« Je veux, ajoute l’écrivain, pouvoir marcher dans ce lieu oublieux de tout, affronter seul les pensées qui m’obsèdent sans m’occuper de personne, ni que personne ne s’occupe de moi ». Dans ce lieu, le silence est un verbe impérissable que l’homme malade et colonisé saisit profondément : « Le silence est une musique. Voilà une sagesse vieille comme le monde, mais peu de gens sont conscients qu’il existe différentes sortes de silence. Au Deir al-Jouwani, par exemple, il y a une espèce très singulière de silence quand le temps est au froid et à la lune et qu’on se tient devant cette grotte romaine à laquelle on accède par une petite ouverture rectangulaire ».

Adoptant tantôt le nom de Tirésias et sa voix, tantôt celle du poète vagabond et brigand Chanfarâ qui « voit la solitude comme la plus douce intimité, et trouve son chemin en suivant la Voie lactée », l’auteur de Je serai parmi les amandiers médite la dépossession d’un être par l’histoire et la maladie, projette l’écriture d’un futur désaliéné du despotisme, des régimes arabes et de l’Autorité palestinienne également.

Atteint d’une « tumeur enflammée, d’un afflux de globules rouges dans le lobe gauche du poumon », il redessine son ombre, observe et laisse passer le temps, le conteste et le sculpte à son image.

Les chants du Deir al-Jouwani

L’endroit est habité par le chant d’une mythique rebaba (violon à une corde) qui appartenait à l’oncle Qaddoura, mort il y a longtemps, mais bien présent, puisqu’il le voit « en train de jouer de la rebaba sur le toit sur le toit du Deir, au-dessus des vallons escarpés éclairés de lune et des vergers en terrasses fraîchement labourés ». Son chant s’étendait et s’étend encore jusqu’aux villages éloignés.

Qaddoura, qui succomba aux morsures d’une vipère extrêmement venimeuse, ne mourut pas tout entier. Sa légende et les notes de sa rebaba prolongent leur écho « dans le vide qui sépare mon “début” de sa “fin”. Je rêve de faire un film qui aurait pour titre : Vie d’une rebaba ! ».

Hussein al-Barghouti choisit donc le Deir al-Jouwani pour renaître, relier ses « débuts » à ses « fins ». Se remémorant une trentaine d’années d’exil et de blessures historiques, l’écrivain ressuscite les pierres mortes du monastère où les Arabes chrétiens rendaient le culte à Dieu, célébraient la vie.

« Debout au milieu des ruines, j’ai senti toute la différence qui existe entre la lumière de la lune et celle des néons de la colonie. Si blanche et crue, conquérante et dominatrice, elle déborde des barbelés dressés entre la colonie et ses alentours, pareille à une “vision armée”, une force d’occupation oculaire, une architecture de lumière bâtie par une nation obsédée même dans ses rêves par des hallucinations armées éclairées au néon. La colonie tout entière semblait un cas offert à l’étude — qui reste à faire — sur la relation entre l’usage de la force et celui de la lumière ! ».

Un monde oublié des hommes. Invisible. L’oncle de sa mère, Qaddoura le musicien-brigand, jouait de sa rebaba sur la terrasse du Deir al-Jouwani surplombant les vallons et les vergers labourés. Il essayait de l’imaginer allumer du feu, la nuit, et s’installer pour fumer son narguilé. Les souvenirs remontent, cette « “mémoire du lieu”, écrit l’auteur, m’est revenue à l’esprit alors que j’étais debout là, parmi les ruines du Deir ».

Plus loin, un lieu de mémoire spolié. La source antique de Qatiliyya et les terres volées de l’enfance du poète. Les attaques des colons. Fini les vergers qui entouraient la source. Ali le berger qui jouait du ney. Ils ont fait un chemin qui descend jusqu’au fond de la vallée.

Tout a été saccagé : « Quoiqu’il en soit, les Israéliens avaient déjà confisqué mon enfance en réquisitionnant les collines qui entourent la source de la Qatiliyya. Sur les hauteurs qui dominent le bassin dans lequel je me baignais et le caroubier sous lequel se tenait Ali, ils ont construit une colonie ceinturée de barbelés et de projecteurs. Comme si, au lieu de me laisser venir à elle, la mémoire se soulevait et se rebellait contre moi. J’évite désormais cet endroit. Il ne me reste plus que le Deir al-Jouwani ».

Tout dans Je serai parmi les amandiers ramène au présent. Au génocide toujours en cours contre les Palestiniens de Gaza, au nettoyage ethnique de pans entiers de la Cisjordanie, à la répression scandaleuse des Palestiniens portant la citoyenneté israélienne dans les « Terres de 1948 ». La passion de faire régner l’inégalité, de donner la mort surtout, est désormais insatiable.

Déjà, durant l’écriture de ce récit en plein feu de la deuxième Intifada, l’auteur ressentait les possibles de l’histoire, sa déflagration, l’aveuglement d’un État colonial qui n’a de proposition politique pour la Question de Palestine que le génocide – auquel « la civilisation » du « monde libre » consent aveuglément : « Par exemple, quelque temps avant cette Intifada, j’ai commencé à sentir dans l’air l’odeur de la mort, et mon visage est mort. Je ne sais pas si quelqu’un a déjà entendu parler de la “mort des visages”… Mon visage est mort ».

La Palestine d’aujourd’hui ressemble à grenadier planté non loin du Deir al-Jouwani. Quand on l’ouvre, la dispersion des couleurs et des sens, la dispersion, le sang, la mort et la vie explosent en un seul instant, furtivement.

Les Palestiniens continuent de résister à l’effacement, le grenadier aussi, c’est le monastère qui le dit : « Quand je contemplais les oliviers et les vallons sous la lune, quelque chose me disait : Même s’il ne te reste que deux ans à vivre, deux ans ici ont plus de sens et de substance que deux siècles “là-bas”. Résiste ! Cette terre est à toi, résiste ! […]. Résiste ! Pas seulement pour toi-même, résiste ! J’ai entendu la montagne me crier : “Dis-lui : quoi qu’il arrive, si tu veux me rendre visite, je serai parmi les amandiers ! Il y aura du soleil, les arbres seront en fleurs dans les vergers, il y aura des abeilles et des bourdonnements d’abeilles… Mais jusqu’à ce que ce moment arrive, résiste ! ».

Classique parmi les classiques des lettres arabes et universelles, Je serai parmi les amandiers est un lieu où le Palestinien et la Palestinienne peuvent se prolonger comme « l’olivier se prolonge dans son huile ». L’auteur se confond avec les ruines et les oliviers, brille comme l’huile qui brûle et éclaire loin de tout contact avec le feu.

Qaddoura est peut-être mort, mais la légende de sa rebaba est encore vivante, l’écho de son chant habite le monde : « je ne suis rien d’autre qu’une légende tirée de ses légendes », le « récit d’un autre récit encore dont le véritable narrateur est le Deir, c’est-à-dire cette montagne, et non pas moi, ma mère, Qaddoura, ou encore la rebaba ».

Que voit l’auteur ? « Ma vision elle-même n’est qu’une parmi toutes les légendes de cette montagne ». De ces « fins » et « débuts », que pourrait voir l’œil du colonisateur ? Très peu de choses, voire rien du tout, après un siècle de colonisation…

 
 
 
 
 

 

 

 

Par Faris Lounis
Contact : farislounis27@outlook.fr

2 Commentaires

 

Tomis

08/11/2024 à 22:56

"Cette terre est à toi"
Ben non, pas vraiment...

Gilles

09/11/2024 à 15:32

Les Palestiniens ne sont pas chez eux en Palestine ?

Je serai parmi les amandiers

Hussein Al-Barghouti trad. Marianne Weiss

Paru le 05/06/2024

112 pages

Actes Sud Editions

16,00 €

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BONNES FEUILLES - Découvrez la Bible française médiévale, la Bible la plus lue en Europe au Moyen Âge, véritable encyclopédie des savoirs, et ses interprétations étonnantes. Une œuvre essentielle pour la culture et la spiritualité médiévales. 

22/05/2025, 07:00

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Mirage : Course contre la montre et contre soi-même

Un ministre disparu, des ossements dans le métro et une menace mystérieuse sur Stockholm : avec Mirage, Camilla Läckberg et Henrik Fexeus clôturent leur trilogie policière par un récit sombre, où la tension psychologique est aussi étouffante que le décor souterrain.

21/05/2025, 11:00

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Des réponses à nos questions sur l'intelligence

BONNES FEUILLES - Devenir plus intelligent, c’est possible ! François-Marie Portes se fait votre conseiller, vous explique comment augmenter les capacités de votre intellect et répond à toutes vos questions.

21/05/2025, 09:00

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Quand l’intime contamine l’enquête

BONNES FEUILLES - Certaines histoires ne s’oublient pas. D’autres se racontent à voix basse. 

21/05/2025, 08:00

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Christian Estrosi : "Notre planète bleue est en feu !"

BONNES FEUILLES - « Notre planète bleue est en feu ! Entre canicules, incendies, tempêtes, inondations et montées des eaux, l’ère des mégacatastrophes semble plus proche que jamais. Mais à l’horizon il reste des lueurs d’espoir. »

21/05/2025, 07:00

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Un peuple effacé, une mémoire vivante

BONNES FEUILLES - Voici l’histoire d’une vie. Voici l’histoire d’un peuple. Voici, contre l’oppression et contre l’oubli, le combat de la communauté assyro-chaldéenne pour la vérité. 

20/05/2025, 11:10

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Côtoyer la mort, jusqu'à l'aimer

BONNES FEUILLES - « Autant être honnête, j’ai adoré mourir. Ou plutôt, être en train de mourir. Et comme ça m’est arrivé deux fois, j’oserais presque dire que je sais de quoi je parle. »

20/05/2025, 07:00

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Madame Grès, le Sphinx de la Haute Couture

19/05/2025, 18:13

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Charles Bukowski, poète champêtre et pastoral

Publié pour la première fois en 1969, ce recueil de Charles Bukowski fait l’objet en 2025 d’une nouvelle édition française chez Au diable vauvert, dans la traduction crue et fidèle de Thierry Beauchamp. L’ouvrage rassemble plus d’une centaine de poèmes qui dressent, sans fard, le tableau d’une existence aux marges. Bukowski y alterne poèmes narratifs, portraits de femmes, évocations de l’alcool, souvenirs d’enfance, visions de violence ordinaire.

19/05/2025, 09:00

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Vélo, bastons et poésie brute : Denis dans la France des 80s

Ce nouveau recueil de Jérôme Bertin s’inscrit dans la continuité d’une œuvre poétique radicale et autobiographique, où la violence sociale se mêle aux effusions intimes. Vie et mort d’un cycliste amateur, un poème narratif découpé en séquences libres, porté par la voix d’un narrateur adolescent prénommé Denis Bolet, gamin roux d’un village fictif nommé Grouillon.

19/05/2025, 07:00

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La Prohibition : boire un petit coup c'est agréable (vraiment ?)

18/05/2025, 12:09

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Les chauves et les préjugés de la Rome antique : ça défrise !

18/05/2025, 12:06

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Lévi-Strauss à la plage : coquillages et crustacés

18/05/2025, 12:03

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Un livre ne se vend pas, il se construit : secrets d’un succès éditorial

Auteurs, éditeurs, diffuseurs, attachés de presse, libraires… C’est dans la complémentarité de ces talents que se joue aujourd’hui la réussite d’un livre. Dans un univers éditorial de plus en plus saturé et en mutation constante, la visibilité d’une œuvre ne relève plus du hasard ni d’un simple coup de chance. Elle se construit, patiemment, avec méthode — en librairie comme sur les réseaux sociaux.

18/05/2025, 08:00

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Un vent de renouveau

15/05/2025, 11:28

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Meurtre incognito et faux picasso

BONNES FEUILLES - Gabriel Allon est sollicité par la police des Cornouailles pour intervenir dans une enquête particulièrement troublante : le meurtre de Charlotte Blake, historienne de l’art renommée et professeure à Oxford. 

14/05/2025, 09:00

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Elina Backman, entre fiction et faits divers

BONNES FEUILLES - Trois étudiants entreprennent de tourner un documentaire sur un énigmatique ermite installé à Lammassaari, une île proche d’Helsinki surnommée « l’île aux moutons ». Peu après, Johannes, l’un des membres de l’équipe, est retrouvé mort dans une réserve naturelle, tandis que Jeremias, un autre étudiant, disparaît sans explication. 

14/05/2025, 08:00

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En guerre contre ses pulsions sexuelles

BONNES FEUILLES - Lily Calloway va devoir accomplir l'impossible : rester abstinente pendant 90 jours.
Alors que Loren Hale est parti en cure de désintox, Lily est terrifiée à l’idée qu’à son retour l’homme qu’elle aime se rendra compte du monstre qu’elle est vraiment. Car plus elle tente de lui rester fidèle, plus ses pulsions sexuelles semblent prendre le contrôle de son corps. 

 

14/05/2025, 07:00

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"Ce roman est un puzzle. Chaque personnage détient une pièce."

BONNES FEUILLES - Figure insaisissable et charme discret au service de la Quarantia Criminale, la redoutée justice vénitienne, Maria Marina Morosini s’est imposée comme une légende vivante dans la cité des Doges. Séductrice fugitive, elle fait de sa disparition un art, toujours au service de la justice.

13/05/2025, 09:00

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Jusqu'où peuvent aller les secrets de deux amants ? 

BONNES FEUILLES - Nous sommes en 1939, et les derniers instants d’une paix précieusement préservée depuis la Grande Guerre s’égrènent. Au sein de la famille Deverill, bien des choses ont évolué, tandis qu’une nouvelle génération se prépare à entrer en scène.

13/05/2025, 08:00

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Louis Bonaparte, roi malgré lui

BONNES FEUILLES - La trajectoire de Louis Bonaparte se découpe, bien malgré lui, en trois périodes majeures. Frère adoré et protégé de Napoléon, il embrasse la carrière militaire, accompagne l’Empereur en campagne en Italie puis en Égypte. 

13/05/2025, 07:00

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Les Ensablés - La Saint-Michel et le Pont Euxin d'Anne Lacroix, par François Ouellet

Anne Lacroix (1897-1982) n’aurait publié qu’un seul roman, La Saint-Michel et le Pont-Euxin chez Grasset en janvier 1933. À cette date, elle a déjà commencé un deuxième roman, Rézle (et même annoncé un troisième titre, Les Bergers d’Arcadie), soumis en décembre de la fin de cette même année pour le Prix du roman du Temps ; les quelques voix qu’elle récolte seront insuffisantes pour qu’elle obtienne ce prix qui consiste dans la publication du roman dans les pages du quotidien. Mais, cinq ans plus tard, en mars 1938, Rézle paraîtra en feuilleton dans Le Temps. Il ne semble pas que la carrière d’Anne Lacroix ait connu d’autres développements. Par François Ouellet.

11/05/2025, 09:00

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Olympe de Gouges, une femme dans la Révolution française

09/05/2025, 18:08

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Avec La Femme de ménage, McFadden balaie Joël Dicker

La percée de Sarah Rivens aura duré autant de temps qu'un coach sur le banc du FC Nantes, alors en cette semaine 18 (du 28 avril au 4 mai), on connait déjà la rengaine : Freida McFadden, traduite par Karine Forestier, récupère l'ensemble des places du podium avec La Psy (37.773 ventes), La Femme de ménage (31.513 ventes) et Les Secrets de la femme de ménage (26.928 ventes). Allez... On passe à autre chose ?

09/05/2025, 12:05

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Les ressuscités

09/05/2025, 07:16

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Les éveillées

09/05/2025, 07:12

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Berserk Tome 1

08/05/2025, 19:28

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Siegfried

08/05/2025, 18:53

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La magicienne trahie

08/05/2025, 16:13

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Comment l'Afghanistan a-t-il survécu à tous ses conflits ?

BONNES FEUILLES - L’histoire de l’Afghanistan est d’abord une histoire militaire, celle d’un pays constamment impliqué dans des conflits en raison d’invasions étrangères ou de luttes de pouvoir.

08/05/2025, 09:00

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Cuba 1962 : la fin du monde est déjà arrivée

BONNES FEUILLES - Alors que la menace nucléaire se fait de nouveau jour, les commen- tateurs les plus avisés se remémorent son précédent avatar, vieux de plus de soixante ans : la crise des missiles de Cuba. Jamais le monde n’avait alors tant frôlé la catastrophe nucléaire. 

08/05/2025, 08:00

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Papini, l’intellectuel qui s’exila au milieu des siens

BONNES FEUILLES - Sans les hommes de génie, l’humanité serait restée à l’état barbare. Toutefois, sans la présence des idiots, elle se serait probablement éteinte depuis longtemps. Leur supériorité numérique et leur influence constante à travers les âges constituent, en ce sens, un argument de poids en faveur de la Providence. 

08/05/2025, 07:00

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Très chers voisins : l’enfer est pavé de pelouses bien tondues

Sous prétexte de fête résidentielle, Jamie Day orchestre la dissection violente d’un quartier chic du Massachusetts, où la fête annuelle des voisins ouvre sur un drame soigneusement préparé. À paraître, ce 21 mai.

07/05/2025, 10:34

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Paracelse : qui était-il ce vagabond génial ?

BONNES FEUILLES - « Tout est vivant et l’univers en son entier est un fleuve éternel de vie. » Tel est le fondement de l’œuvre de Paracelse (1493-1541), lui-même garanti par une expérience intime et immédiate de cette vie exubérante. À partir de ces prémisses, qui donnent leur cohérence à l’ensemble de son œuvre, Paracelse répond aux nouvelles questions posées par l’époque : pourquoi le temps ? Que représente l’homme dans l’univers ? Qu’est-ce que la maladie ?

07/05/2025, 08:00