Depuis juin 2016, il n’était pas revenu dans l’enceinte du Sénat : à l’époque auditionné par la Commission Culture, il défendait l’engagement de Vivendi vis-à-vis… des auteurs. Ce 19 janvier, Vincent Bolloré revient pour une nouvelle audition, alors que la fusion Edithachette se profile.
Le 19/01/2022 à 13:57 par Clément Solym
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19/01/2022 à 13:57
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Prophétique Vincent Bolloré ? En juin 2016, le grand patron de Vivendi dévoilait une partie de son plan : avec Arnaud de Puyfontaine, alors président du directoire de Vivendi, et aujourd’hui président d’Editis, ils analysaient le marché du livre de façon lucide. Des auteurs qui gagnent beaucoup d’argent, quand d’autres, bien plus nombreux ne gagnent rien. À ce titre, « ils auraient besoin d’un grand groupe ». Or, Vivendi était en mesure d’aider les auteurs à dévoiler plus de talents et les exprimer.
Aujourd’hui actionnaire majoritaire du groupe éponyme, Vincent Bolloré est l’ancien président du conseil de surveillance de Vivendi et du groupe Canal plus. Au cours de l'audition au Sénat, ce 19 janvier, les sujets ne manqueront pas. Le rendez-vous est à suivre dans nos colonnes en live-tweet ici même à partir de 16h30, et sera suivi d'un article de synthèse.
La synthèse des échanges est, comme prévu, bien qu'un peu tardivement disponible à cette adresse : Vincent Bolloré : “Beaucoup d'auteurs crèvent la faim”
crédits photo : Copyleft
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Par Clément Solym
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1 Commentaire
Arrivets Emmanuelle
13/02/2022 à 21:57
La culture, dans tous ses aspects" (écrivains, dessinateurs, peintres, réalisateurs, créateurs, sculpteurs photographes, acteurs, la liste est infinie.)doit être "protégée". Ils travaillent "très dur" pour des salaires de misère et leur travail n'est pas reconnu.
La culture est difficile à "quantifier financièrement" car les artistes passent un temps infini "à peaufiner leur travail". Quelle est la valeur d'une création qui a demandé des mois de travail - c'est très difficile à dire.
Il faudrait peu être redéfinir la législation et les salaires des créateurs afin qu'ils puissent vivre "décemment" de leur métier.